Lorsque vous apprenez qu'1 de vos connaissances est décédée, quel est votre TOUT PREMIER sentiment?

Bonsoir

Rudolf Steiner disait que notre être profond, notre inconscient, sait parfaitement que des pensées négatives envers un mort entraine ce dernier vers le bas, et que c'est pour cela qu'instinctivement, nous rechignons à dire du mal d'un mort.
Il expliquait que le blocage occasionné à un mort par des pensées négatives affectait considérablement sa montée vers la lumière.
Comme c'est une chose terrible que le mort ne peut corriger lui même, et nous le savons, nous faisons un barrage instinctif contre le fait de dire du mal d'un mort.
C'est comme l'inceste, notre conscience profonde SAIT que c'est incorrect et nous dégoute d'avance.
Là c'est pareil.
Le mort pouvait être quelqu'un de terrible de son vivant, oui, mais ça ne sert à rien de juger après la mort et d'envoyer des mauvaises ondes, parce que c'est taper non sur un adulte vivant, mais sur une sorte d'esprit revenu à l'état d'enfant innocent sans mental.
N'avez vous jamais vu quelqu'un à l'agonie ? C'est un bébé, parce qu'une part de lui est déjà partie, et on sent bien que la mort est là.

Il est très mauvais de penser du mal d'un mort. C'est aller contre soi-même et contre sa vrai conscience, ça éloigne de soi. De plus, comme le mort n'a plus toute sa personnalité d'avant, il n'a plus ni son cerveau ni son mental actif, il ne peut pas se défendre, même s'il est conscience, alors cela revient à taper sur une sorte de bébé, par exemple.
Pas tout à fait, bien sur, mais ça ressemble à ça, d'après certaines traditions spirituelles.
Ce qui fait que c'est un mauvais karma qui nous reviendra directement, en dehors du mal occasionné à autrui.

Chacun son vécu et son sentiment là dessus, je ne fais que partager une explication traditionnelle.

à bientôt.

"Il est très mauvais de penser du mal d'un mort. " dit Rudolf Steiner et repris par Saint Amant ???

Une forme de mise en garde en quelque sorte... d'où peut être le fait de la lenteur de nos "progrès" vers un monde meilleur. Si une fois mort "tout le monde il est beau et gentil"...

"Laissons les morts s'occuper des morts" aurait dit J.C (non, pas Van Dame!) ni dans un sens laudateur, ni gratuitement "méchant"... mais simplement pragmatique. Il est des personnages dont on se serait bien passé... quoi que....!!! sans eux le monde ne serait pas ce qu'il est... et peut être serions nous dans une pire situation.

Le fait que nous soyons encore là pour en parler ne nous aurait-t-il pas renforcé dans nos capacités de survie ? du moins au niveau de l'espèce... mais au détriment de leurs "victimes" qui étaient "au mauvais moment au mauvais endroit".

La vie, dans une optique évolutive darwinienne est une forme de crash-test permanent.

Avons nous pour "mission" de neutraliser cet état de fait ?

Ces tentatives font-elles parties du crash-test ?

On semble privilégier la "haine" plutôt que "l'amour" et plongeons ainsi dans des manichéïsmes simplificateurs générateurs d'oppositions systématiques, alors que nous sommes pétris des deux facettes antagonistes d'une même médaille.

Cela ne serait-il pas un "mal" nécessaire ?

Nous avons une palettes de couples pervers articulés en réflexes pavloviens (amour/haine, beau/laid, idéaliste/matérialiste etc....) sur lesquels nous pensons ériger des certitudes...issues du mariage de "la carpe et du lapin" qui ne semble nous laisser que le choix entre "la peste et le choléra".

Ne sommes nous pas de simples (?) paradoxes vivants aux multiples facettes antagonistes ? D'où nos bouillonnements intérieurs, notre "intranquillité" dont la Vie serait une manifestation ? Avec une fâcheuse tendance à la ressentir sur un mode tragique, alors que tout ce qui nous "dérange" n'est là que pour nous rappeler que nous ne sommes pas tout à fait mort ?

moi je dis tout simplement que ton ame repose en paix _ trouve le bonheur que tu n as pas connu ici dans ce bas monde _ repose en paix _ sois heureux

Je pense pour ma part que la vie et la mort ne forme qu'un, la personne disparaît physiquement, mais sa conscience, son esprit lui l'est toujours.
J'ai eu plusieurs décès dans ma famille et je n'ai pas eu de tristesse, car je sais que je pourrais les revoir.

Moi pour ma part je suis éffondrée,je suis tres émotive,et quand j'aime cela me fait beaucoup de mal,et cela me dure un petit moment ,voire plusieurs jours

Je n'ai pas connu beaucoup de décès de proches "vraiment proche". Juste quelques connaissances et mes grands parents.

Par contre si je n'aimais pas le défunt ou que celui-ci m'avais causer du tors, je n'ai aucun remords a en parler. C'est peut-être très dur, mais je n'ai pas envie d'encenser une personne si je ne l'ai vue que dans des moment ou elle faisais souffrir les autres et riait de leur malheur.

Mais pour les personnes que j'ai aimées ou appréciées, je crois que je n'intègre jamais vraiment l'idée qu'ils sont morts... Parfois quand je parle d'eux j'y pense mais ça me fait quand même toujours bizarre. Pour ma grand mère par exemple, il m'est déjà arriver d'en parler 10 ans après sa mort et de penser "ça fait longtemps que je ne l'ai plus vu..." avant de me rappeler que, oui ça fait longtemps et ça restera comme ça, je n'ai plus aucun moyen de la voir puisqu'elle n'est plus.
Je n'ai presque pas pleuré pour mes grands parents car ils étaient malades donc j'étais préparée. J'ai connu un garçon qui est mort d'une overdose a 30 ans et là, j'ai pleurer car c'est fort jeune, c'est soudain et je trouve ça injuste. je ne pleure pas car l'autre me manque mais plutôt sur l'horreur de la façon de mourir et sur les questions que cela fait naitre sur la vie et pourquoi on meurt. ça peut arrivé a n'importe qui comme ça, un une seconde... pourquoi lui? pourquoi pas un autre? Et pourquoi pas moi? C'est très arbitraire la mort, et même si on y passe tous ça me fait peur.

Je n'ose même pas imaginé dans quel état je serais si ça arrivais a des personnes vraiment proches, comme mon conjoint, ma mère ou ma soeur....Car en plus de tous ce que la mort représente et du sentiment d'injustice qu'il procure, il y a aussi le manque de ne plus jamais les revoir, leur parler, les touchés...Et effectivement c'est peut-être très égoïste de pleurer sur sois et sur combien ils vont nous manquer, mais c'est aussi très humain et je pense que c'est une étape nécessaire au deuil.



Il arrive aussi qu'un de nos proches perd un de ses proches qu'on ne connaissais pas personnellement, et c'est très dur aussi de savoir comment réagir car on a envie d'accompagner l'autre dans sa douleur pour le soulager mais ce n'est pas possible et je trouve toujours ça très dur de les voir déprimer et passer par cette phase difficile sans pouvoir rien faire de plus que juste être présent pour eux, les écouter, essayer de leur redonner gout a la vie pour qu'ils profitent de la leurs tant qu'ils sont encore là.

Perso je crois que quelqu un qui meurt après 70 ans  ,qui n'a jamais manqué de nourriture ,et d'endroit pour ce réchauffé (la moyenne des gens), on devrait célébrer au lieu de fatalisé . fatalisme=(doctrine qui considère toute les événement irrévocable fixé a l'avance)tous simplement un manque de jugement liées au émotion, comme le font la plupart des êtres humain, célébrer ses accomplissement au lieu de fatalisé,  on a tousse accomplie quelque chose a des moment de notre vie. Être triste d'avoir perdue un être cher OK,mais agir comme si la mort était un fait complètement inattendue ,je trouve ça un peu hypocrite et ridicule, la mort physique est aussi importante que la vie avec tous ce quelle comporte. Voila la raison pour la quelle nous sommes ici ,s'accomplir ,se réaliser,évoluer,apprendre.

                (La mort n'existe pas et la vie est éternelle ,le contraire de la mort est la naissance.)E.T        

          Le problème est que nous tournons toujours tous autour de la PEUR de l'inconnue ,ces la conséquence directe d'un manque de foie.  vous savez j'ai toujours été un être réfractaire aux enseignement des humain,par la force des chose, mais a force d'explorer ,de vivre ,et de faire des expérience personnelles et de côtoyer d'autre être humain, j'en suis venu a la conclusion que nous sommes ,nos joie , nos peine , nos peur, nos douleur, et par dessus tous nous sommes tout pareil et en même temps différent, nous sommes tousse la même énergie.

          Beaucoup de peuple célèbre cette événement au lieu de le craindre. tous simplement parce qu'il on la foi. Perso je ne tente de convaincre personne mes ces se que je crois, et savez vous quoi?   je vais mourir un jour peut être demain qui sait , alors je vivrai ce jour comme si c'était le dernier, je vous dit ADIEUX.  ou peut être a demain qui sait.................

un sentiment d'amour très puissant tourné vers celui qui part pour l'accompagner dans son chemin ou son passage et tourné vers ceux qui restent pour l'aider à porter leur tristesse.

Je n'ai pas connu de décès d'un proche depuis longtemps donc je pourrais pas dire ce que ca me ferait aujourd'hui. Je ne peux pas dire: "je serais comme ceci ou celà..." Je n'en sais rien.

Sinon lorsque un ami à moi est mort y'a quelques années mon premier sentiment: de la joie pour lui, il était soulagé d'une existence douloureuse (il avait un cancer du foi en phase terminale et je l'ai vu en souffrir). Puis de la tristesse parce que je ne le reverrais pas pendant longtemps, la sensation qu'il allait pas mal me manquer. 

Quand mon grand père est mort j'avais environ 10 ans, je n'ai pas ressenti d'émotion particulière qui m'ai marqué, je savais qu'il allait mourir de toute façon, je l'ai su quand j'étais allé le voir à l'hosto à cause de l'expression qu'il avait dans ses yeux (il ne pouvais pas parler il avait un masque sur la bouche et était branché de partout). Juste un frisson étrange en voyant ma mère sangloter, voir ma mère pleurer m'était insuportable. De l’énervement en voyant les gens présents à son enterrement pleurer comme des madeleines alors que ces gens ne venaient jamais le voir ou ne prenaient pas de ses nouvelles. Je les trouvais ridicules. J'avais des pensées noires comme en pousser certain dans le tombeau quand ils étaient au bord et regardaient le cercueil de mon grand père descendre dedans.
(je précise que je suis pas un psychopathe ! J'ai juste eu une jeunesse assez perturbée...)
Je garde de bons souvenirs de mon grand père et je sais qu'il lui arrive de siffler un air qu'il sifflait (la balade des gens heureux) à travers les oiseaux pour me dire: "coucou !".

Rayon a écrit:

Je n'ai pas connu de décès d'un proche depuis longtemps donc je pourrais pas dire ce que ca me ferait aujourd'hui. Je ne peux pas dire: "je serais comme ceci ou celà..." Je n'en sais rien.

Sinon lorsque un ami à moi est mort y'a quelques années mon premier sentiment: de la joie pour lui, il était soulagé d'une existence douloureuse (il avait un cancer du foi en phase terminale et je l'ai vu en souffrir). Puis de la tristesse parce que je ne le reverrais pas pendant longtemps, la sensation qu'il allait pas mal me manquer. 

Quand mon grand père est mort j'avais environ 10 ans, je n'ai pas ressenti d'émotion particulière qui m'ai marqué, je savais qu'il allait mourir de toute façon, je l'ai su quand j'étais allé le voir à l'hosto à cause de l'expression qu'il avait dans ses yeux (il ne pouvais pas parler il avait un masque sur la bouche et était branché de partout). Juste un frisson étrange en voyant ma mère sangloter, voir ma mère pleurer m'était insuportable. De l’énervement en voyant les gens présents à son enterrement pleurer comme des madeleines alors que ces gens ne venaient jamais le voir ou ne prenaient pas de ses nouvelles. Je les trouvais ridicules. J'avais des pensées noires comme en pousser certain dans le tombeau quand ils étaient au bord et regardaient le cercueil de mon grand père descendre dedans.
(je précise que je suis pas un psychopathe ! J'ai juste eu une jeunesse assez perturbée...)
Je garde de bons souvenirs de mon grand père et je sais qu'il lui arrive de siffler un air qu'il sifflait (la balade des gens heureux) à travers les oiseaux pour me dire: "coucou !

Heureusement les enfant vive dans le moment   présent,le future ou le passé n'existe pas,ou a peine,voila pourquoi le regard innocent , et la joie, dans le regard d'un enfant,il ont très peut de souci avec la mort.

Malheureusement les adultes vive presque toujours   dans le future ou le passé,grosse erreur ici, comment pouvons nous être performant si nous ne vivont que partiellement le moment présent.

+1 Dabou. C'est beau d'être un enfant.

comme  l'exprime ta figurine ,l'enfant sait tres bien se relevé, l'échec en ce qui le concerne ,il en a rien a foutre, l'échec concerne seulement l'adulte et ses PENSÉ.

        adorable cher gil83 vos illustration.

Que la vie est belle et courte , qu'il faut en rester conscient .Que c'est facile de l'oublier dans le tourbillon de nos vies.Donc profiter de nos gens précieux quand ils sont présent car on a aucune espece d'idée qui sera la demain.

quant on ma annoncer la mort de ma GM , pas tres envie d'y croire !! l'enterrement est recent ! ces fini .. son vivant n'est plus !il ne reste que les souvenirs ! j'ai pas envie .. et regulierement je serais amenee a passer de pres ou de loin chez elle sans m'y arreter 

ces pas facile de s'y preparer ..

bonjour à tous,


Mon premier sentiment quant quelqu'un décède "c'est de la joie mêlée à de la peine".

De la joie, car ma croyance personnelle m'amène a pensé que la personne décédée va retrouver ses proches partis avant elle et bien plus encore.

De la peine, par pur égoïsme, le sentiment d'avoir perdu quelque chose (une relation que j'aimais, que je possédais, qui m'appartenais) à cause de l'absence que je vais devoir subir.

Maintenant interrogez-vous, dans l'esprit collectif, qu’es-ce-que la mort?
Ce que l'esprit collectif appelle la mort moi je l'appelle "l’absence".

Car pour moi la mort ce n'est pas ça, la mort est une chose personnelle, qui ne s'applique qu'à soi même et ce depuis que nous sommes nés.
La mort nous la subissons à chaque instants, la mort d'une seconde, d'une minute, d'une heure,...de notre vie, sans possibilité d'aller en arrière, de corriger ce qui a été fait, car ce qui a été fait a été fait à l'instant T, ne pourra être changer qu'à l'instant X et donc T est bien mort.
On pourrait dire que la mort est un temps de vie et donc la vie. Ce qui est après "c'est l'absence".
Je résous cette équation de cette façon:
Ais-je eu peur de naitre?   non!
Ais-je peur de mon absence? non! car j'ai le sentiment  que l'instant T de la naissance rejoins l'instant T' de l'absence et donc est la même chose (déjà vécu).
Pour illustrer cela, allez voir "un Ouroboros", image présente dans tous les courants spirituels.  Un serpent ou un dragon qui se mort la queue. "LA ROUE DE LA VIE". Cette image, je pense ne représente en elle même qu'un instant de ce que nous sommes vraiment. La vie n'est qu'un instant de notre réalité.

Par contre comme la mort pour moi c'est chaque instant de vie, la seule peur qu'elle m'inspire c' 'est précisément LA PEUR d'avoir PEUR DE VIVRE!

J'espère ne pas m'être éloigné du sujet, expliquer l'un sans l'autre, mes sentiments et ma conception aurait été incompréhensible.

Bonne journée à tous

 


quand j'ai perdu ma mère je savais qu'elle allais mourir des suites de sa maladie , ça a été moins pénible je pense que d'apprendre d'un coup la disparition de qqun dans un accident , pendant qques temps j'ai eu comme un "point" au milieu de la poitrine et une sensation 
pas de perte mais d'être "pesant" ! bien qu'avec elle ça n'a pas été toujours le grand amour et parfois la guerre !

bin quand j'ai perdu mon grand père,peiné et triste,cela a duré quelques jours et puis la tristesse et la peine ont disparus. quand mon oncle est parti même sentiment sauf beaucoup de remords car je n'ai su lui donner tout l'amour que lui m'avait donné.au bout de quelques semaine toute peine et tristesse avait disparu.actuellement ,je me prépare car mon père est gravement malade,je verrais bien le moment venu.je ne pense pas à de l'égoisme le fait d'avoir de la peine et de la tristesse parce que nous perdons un être chair,mais il ne faut pas non plus que cela dur des mois et des années car on empêche cet être de continuer son chemin sur d'autres plans.

salut Jean-Luc, salut à tous,

Encore une nuit sans sommeil!


Tu as raison Jean-Luc, le terme égoïsme ne convient pas (j'ai été voir au dico), mais manquant un peux de vocabulaire (personne n'est parfait), j'ai du mal à trouver le terme exact. Et à cette heure tardive je crois que cela va être compliquer.

Alors solution de facilité:

De la peine, par pur égoïsme,par-ce-que j'ai le sentiment d'avoir perdu quelque chose (une relation que j'aimais, que je possédais, qui m'appartenais) à cause de l'absence que je vais devoir subir.

bye Jean-Luc

Bonne journée à tout le monde

on dit pas 'au dico' mais chez le dico' 

salut gilou,   


Oh! mince! Encore pris! Y aurait-il une police de la langue Française ici?  

Tu as entièrement raison on dit généralement aller rechercher une réponse "dans le dictionnaire".

GRRRR! la prochaine fois j'écrirais mon post avec de l'encre sympathique  

ui de toutes façons on parlera tous bientôt englais 

elo a écrit:

Je parle bien de la première émotion qui vous traverse.
Et quelle est la première pensée qui vous vient à l'esprit?

En ce qui me concerne, lorsque j'apprends qu'une personne que je connais s'est éteinte je passe toujours par une phase de stupéfaction. Par exemple, si c'est une personne jeune, je me dis c'est triste de mourir à cet âge. Ce n'est pas normal.

Puis après cette première phase d'étonnement, je prends un peu de recul et mes croyances prennent immédiatement le dessus. Je crois que notre mort est choisie par nous-même à un autre niveau de conscience et par conséquent qu'elle ne nous est pas "imposée". Donc je finis toujours par me dire "elle est morte parce qu'elle l'a décidé". Et puis, je crois en l'âme éternelle alors pour moi la personne meurt seulement sur le plan physique.

Personnellement, lorsque j'ai appris des décès de personnes proches, et ce récemment (depuis que je suis dans mon état de développement actuel) la première réaction me venant est une phase de réflexion, sereine. Aucune émotion négative ne me traverse mais des souvenirs de la personne me reviennent. Durant ces instants je mesure l'implication que ce "décès" aura pour tout le reste, ou du moins j'essaye, et aussi je reste attentif à mes émotions, aux effet que ce fait à sur moi. J'écoute ce que je désir et j'agis en conséquence.

Je crois par ailleurs que je suis au summum de ma capacité d'acceptation des événements, quels qu'ils soient. Cela est peut être faux, mais je ne pense pas. C'est le fruit d'un "très complexe" cheminement personnel sur le plan spirituel, intellectuel ou encore physique. Je dis bien très complexe et pas long. Ce n'est pas parce qu'on voyage longtemps, qu'on voyage en direction de sa perfection, je pense.

 

tout est une question du scénario de ce départ car il n'y a pas un scénario mais une multitude d'histoires de départ qui réveillent une multitude de sentiment mais tous sont sou-tendus par un sentiment: l’Amour.

 

Bonjour !

En ce qui me concerne, mes réactions sont toujours mêlées de larmes, si le défunt était une personne que j'aimais beaucoup, et de soulagement-réjouissance pour son devenir.

Le défunt a achevé son incarnation, de x façon, involontaire ou volontaire, mais il "revient à la maison", pour "se reposer", se régénérer, se nourrir pleinement d'amour, etc. 

A mes deux types d'émotions se sont déjà imposées d'autres ressentiments (goût d'inachevé dans notre relationnel, gâchis, pleine appréciation des moments partagés, envie de son départ...).