NICKEL, dit RESEAU GLOBAL ou RESEAU HARTMANN
Sur toute la surface du globe terrestre il se produit une émission de
rayonnements sous forme de véritables « murs » de 21 cm d'épaisseur, en forme
de filet. Ces murs, bien entendu invisibles, sont orientés selon les pôles
magnétiques et se propagent à l’infini. Ils sont, régulièrement, doubles en
épaisseur, dans les deux sens, après quelques espacements « normaux ».
Dans nos régions, la distance moyenne entre deux rayonnements est de
deux mètres dans le sens nord-sud, et de deux mètres cinquante dans le sens estouest,
mais cette résille peut être perturbée et déformée par un accident
géobiologique ou une pollution électrique. A contrario, la déformation de la
grille indique une zone dangereuse. Des études très sérieuses ont été menées et il
est prouvé que la valeur du champ magnétique est différente dans la zone
intérieure d'une maille (ou zone neutre) et à la verticale des murs (encore bien
plus à la verticale d'un croisement de murs).
Le réseau global, redécouvert par le Docteur HARTMANN de
Heidelberg, vers 1950, passe absolument partout et traverse tout : dans un
immeuble de quinze étages, on retrouve le même rayonnement, au même
endroit, dans les quinze pièces superposées. Les croisements de la résille sont les
endroits où se concentrent, au maximum, les radiations, et ils peuvent être
pathogènes, surtout s'ils se trouvent à l'aplomb de quelque accident géologique
(crevasse, courant d'eau souterrain, etc.).
Ce réseau est un des plus faciles à détecter et nous permet de
comprendre ce qui se passe au droit de tous les autres : en particulier (et comme
pour tous les phénomènes telluriques) chaque rayonnement possède des
harmoniques au nombre de sept. Lorsque le réseau est doublé, surtout à
l'emplacement d'un croisement, la négativité est maximale et les harmoniques la
prolongent.
Le Docteur PICARD, de Moulins/Allier, a eu, dans les années 1960,
l'occasion de soigner différents malades habitant le même immeuble à étages
multiples. Plusieurs décès pour cause de cancer étant intervenus, dont deux
enfants (le deuxième ayant repris le même emplacement de lit après décès du
premier), ce médecin a demandé à des spécialistes, une étude géobiologique. A
cette époque, c'était méritoire car personne, en France, n'en était capable. L'étude
a démontré que tous les lits des personnes atteintes de cancer étaient superposés
dans l'immeuble et se trouvaient à l'emplacement d'un « noeud Hartmann ».
L'activité pathogène de ce noeud était aggravée, en l'occurrence, par la présence,
à son aplomb, de failles et courants d'eau souterrains.
Le cas est fréquent de personnes qui, ayant changé de logement,
deviennent sujettes à des insomnies tenaces. Le simple déplacement de leur lit,
auparavant mis sur un croisement H. leur rend le sommeil.
Heureusement, tous les croisements du réseau global ne sont pas
pathogènes, mais ils peuvent le devenir un jour. Cela dépend, aussi, de la
résistance particulière de chaque individu et du temps d'exposition journalier :
un poste de travail fixe ou un lit occupés huit heures par jour et situés sur un
noeud H. peuvent engendrer de graves troubles à partir d'une durée moyenne de
trois ans d'exposition. Précisons, encore, que l'intensité des rayonnements varie
suivant les heures de la journée, en fonction des positions de la Lune et du
Soleil. Le maximum de l'intensité se situe entre minuit et deux heures du matin,
puis entre midi et quatorze heures. Le minimum se trouve entre cinq et sept
heures, puis entre dix-sept et dix-neuf heures. Parallèlement, la largeur des murs
H peut varier occasionnellement : c'est toujours le cas avant une très forte
dépression atmosphérique ou un tremblement de terre, Plus la perturbation doit
être grave, plus le mur H s'épaissit, souvent plusieurs jours avant l'événement. Il
est bien connu que les animaux s'enfuient avant l'arrivée d'un tremblement de
terre ou sont particulièrement excités s'ils sont entravés : ils sont donc très
sensibles à ces radiations.
Les Russes, plus que d'autres, ont étudié, très sérieusement, ces
phénomènes, et ont mis en évidence deux sortes de comportements. La plupart
des animaux à sang chaud sont comme l'homme et fuient les noeuds H (si votre
bébé, instinctivement, se retrouve toujours à l'autre bout de son berceau, pensez
au problème), c'est, en particulier le cas du chien. Certains nomades établissent
leur campement là où leurs chiens se rassemblent spontanément, et l'étude de ces
animaux à l'intérieur d'une maison est pleine d'enseignements. Les poules et les
lapins ont la même réaction que les chiens. En revanche, le chat recherche les
zones les plus perturbées : si votre chat dort, en permanence, avec plaisir, à un
endroit précis, sur votre lit, changez vite votre lit de place. Il est intéressant de
constater que, dans ce cas, la science confirme ce que l'on pourrait prendre pour
un remède de « bonne femme » : la fourrure du chat a la propriété d'équilibrer
les rayonnements reçus et de retransmettre des micro-ondes dans une bande de
fréquence propice au traitement des rhumatismes...
Les fourmis, les termites et les abeilles recherchent, aussi, les nœuds H.
source: Georges PRAT.
désolé pour la longueur