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Difficile de dire où en est l'économie mondiale car les médias ne font que relayer une info contrôlée par ceux qui la dirigent , et qui ne désirent pas que nous sachions que le paquebot "système monétaire international" ou "système bancaire planétaire privé", prend l'eau de toute part.La finance mondiale est avant tout un business privé, ce que beaucoup ne réalisent pas.
Les peuples, les gouvernements et les institutions sont aux mains de ce groupe privé qui détient des intérêts dans les conglomérats industriels mondiaux, alimentaires, pharmaceutiques, militaires, scientifiques, technologiques, médiatiques, religieux, et politiques.Autrement dit, le pouvoir est en des mains étrangères aux nations et aux gouvernement qui les dirigent.
J'oserai même dire que les gouvernements sont formés constitués par ce business privé tant les intrications entre la finance et la politique sont étroites.
L'outil privilégié du pouvoir exercé par ce cartel privé est l'endettement. Celui des particuliers, des organismes en tout genre, des gouvernements et par contrecoup, des nations. Plus vous endettez qulequ'un et plus vous pouvez contrôler sa vie, ses décisions, ses choix, et ses convictions à travers une information mensongère et lobotomisante pour son esprit.
Il en va de même pour les collectivités, les populations et les nations.Le problème actuel semble être à présent un excès tellement démesuré, que l'indigestion est chronique et que le système devient malade de ses propres abus.
La seule solution qui est exercée depuis des années, est de rajouter de l'endettement à une pyramide d'endettement, ce qui ne fait qu'accroître la maladie, la gangrène qui touche la finance mondiale, et par contrecoup tout le système économique, sociétal, industriel et politique qui y est adossé.
Bref, le malade est en train de mourir, et sa survie est prolongée à grand coup d'injection de morphine, autrement dit d'injection de liquidités virtuelles qui ne font qu'aggraver son cas, car la virtualité n'a aucun effet réel sur la réalité actuelle.
Une solution existe cependant, faire comme l'Islande qui a envoyé promener le système, annulé ses remboursement, renversé son gouvernement, limogé ses politiques, ré-écrit sa constitution, et mis en place une femme président, au service de la collectivité et non du système. Et tout ça dans le calme et la sérénité.
C'est la population qui a mis en oeuvre le changement, les outils du changement, et sa volonté de vivre librement et non plus assujettie à un pouvoir inhumain, sanguinaire, et immoral.
Nous pouvons aussi faire de même, il suffit d'un peu de volonté et de courage..
Désolé pour la couleur orange, mais mon texte n'apparaissait pas pendant que je le rédigeais.