Les vaccins sont-ils réellement un progrès de santé sociale ou sont-ils un paravent derrière lequel se retranchent les patients pour calmer leurs angoisses de tomber malade et faire « comme tout le monde » et les médecins pour calmer, eux aussi, leurs angoisses de voir tomber malades leur patients et/ou pour faire comme « l’omerta médicale » le leur impose.
Ce sujet est tellement vaste que je crains de l’aborder sur quelques pages seulement. Il nous concerne tous et nous affecte très différemment selon notre culture, notre éducation, notre formalisme, notre évolution personnelle, notre parcours médical, les influences familiales et professionnelles par exemple. L’acceptation, la « demi-acceptation/demi-refus » (on en accepte un exceptionnellement) ou le refus plus ou moins catégorique de l’acte vaccinal en dépendra.
Dans tous les cas, chaque fois que nous accepterons que le médecin officie avec sa seringue emplie de la saumure chimique vaccinale, nous en subirons personnellement les conséquences.
Les vaccins nous sont présentés comme « obligatoires » et la solution idéale même si, légalement, aucune vaccination n’est obligatoire en Suisse (comme dans toute la CEE
sauf la France ). Etudions-les un peu.
VACCINS ET VACCINATIONS - LES VACCINS CATASTROPHES