En 1936, la légende a été redécouverte par des archéologues Français au Mali dans une tribu Africaine appelée les
Dogons. Les Dogons se disaient les descendants d'un peuple du Proche-Orient, probablement les Sumériens eux-mêmes,
qui avaient transporté leurs traditions orales pendant des milliers d'années.
Respectés par les Dogons, les archéologues ont été initiés au secrets de la tribu. Ils accordaient une attention
particulière à l'étoile Sirius, car la créature amphibie leur avait dit être venue d'une planète aquatique de ce
système stellaire. Sirius est notre étoile la plus lumineuse. Généralement appelé l'Etoile du Chien, elle se trouve
à environ 7 années lumière de notre Soleil. Parmi l'ensemble considérable des informations astronomiques que la créature
avait fournie, y compris ce que l'on pourrait rapprocher d'une description de la théorie du big bang, il y avait la
mention que Sirius était en réalité un système de trois étoiles. Selon la créature le système de Sirius a une grand étoile,
puis un second astre, minuscule, très dense et presque invisible, et un troisième soleil moins lourd. Le deuxième soleil
était décrit comme très lourd en dépit de sa petite taille, une notion que l'on ne s'attend pas à entendre exposée
par un peuple Africain traditionnel. Ils ont également décrit comment Sirius A tournait sur son axe. Coupant les
orbites de ces trois soleils, l'orbite de la planète de la créature était "en forme d'oeuf" et a mettrait cinquante
ans à parcourir son orbite.
L'équipe française a enregistré leur histoire et l'a plus tard publiée. A l'époque les scientifiques pensaient que Sirius
était un système d'étoiles binaires, bien que quelques astronomes aient spéculé de la possibilité qu'il y ait
trois étoiles. Le sujet fut oublié jusqu'aux années 70 où les scientifiques à l'aide des derniers télescopes les plus
puissants du moment purent finalement obtenir de bonnes photos du système de Sirius. A leur stupéfaction c'était un
système à trois étoiles avec un grand soleil, une étoile naine blanche, très lourde et quasiment invisible,
et une troisième étoile moins puissante, non encore vue, seulement soupçonnée, et dont l'existence très probable
a été calculée en 1995.
Employant l'informatique, des astronomes ont alors calculé qu'une planète qui serait dans la position qui avait été
décrite par le Dogons aurait une orbite "en forme d'oeuf," c'est à dire elliptique, et mettrait cinquante ans à accomplir
une révolution. Ce que les Dogons avaient expliqué au moins quarante ans avant que nos télescopes plus puissants purent même
constater l'existence de la troisième étoile de Sirius. C'est ainsi que l'on en vint à suggérer que les Dogons
avaient bien du obtenir ces informations d'une source extraterrestre.
Suite de l'histoire des Dogons Mali (Afrique)