Les Dogons Mali (Afrique):Les Dogons savent que Sirius B (Po-tolo) boucle son orbite elliptique autour de Sirius A en 50 ans et c'est pour cela que ces Dogons célèbrent tous les cinquante ans, la " fête de Sigui " dont les cérémonies visent à régénérer le Monde, mais aussi pour que les récoltes des Dogons soient bonnes. C'est d'abord l'allemand Bessel qui fut le premier, en 1844, à soupçonner l'existence de cette 2ème étoile, pour expliquer les oscillations insolites du mouvement apparent de Sirius A, alors que l'orbite théorique de cette étoile Sirius B, on le sait, invisible à l'œil nu, fut calculé par Peter en 1851 et sa période de révolution fut précisé de 50090 ans par Van Den Bas en 1960. Les Dogons le savaient déjà! Mais comment ont-ils su que la période de révolution était justement de 50 ans??
Les connaissances astronomiques des Dogons Les Dogons est la dénomination d'un peuple vivant sur le plateau desséché de Bandiagara au Mali et qui font état dans leur tradition, d'une cosmogonie si fantastique qu'elle semble tout droit sortir d'un roman de science-fiction.
UNE VISITE ET DANS L'ANCIENNE SUMER: Dans toute l'histoire du Proche Orient il a toujours été connu que les Sumériens affirment que leur civilisation a vraiment commencé à fleurir quand ils ont été contacté par une créature descendue des cieux vers la mer. Notez que cette créature n'a pas été décrit comme un Dieu, ni ange, comme sont décrites les autres figures mythologiques Sumériennes. Comme nos amphibies cette créature devait vivre près de l'eau et souvent dans l'eau. En fait il est dépeint dans les sculptures du Proche-Orient comme un demi poisson demi homme. Apparemment, il a rencontré à plusieurs reprises un indigène sumérien sur une plage et lui a livré plusieurs de ses secrets, parmi lesquels le cadeau de l'écriture alphabétique. Cette légende, ou histoire, a été transmise par des générations et de nombreuses tribus comprenant les babyloniens.
LES CONNAISSANCES ATRONOMIQUES INEXPLICABLES DES DOGONS:Le Pays Dogon est une région du Centre Est du Mali marquée par la falaise de Bandiagara qui s'étire sur 200 kms. Fuyant l’islamisation, les Dogons s’y réfugient vers le XIVème siècle, sur les flancs de la falaise et sur le plateau, les éleveurs Peulhs occupant la plaine. Réputés pour leur cosmogonie, leurs sculptures, les Dogons sont avant tout des cultivateurs de mil, avec leur propre culture forte et originale.
En 1936, la légende a été redécouverte par des archéologues Français au Mali dans une tribu Africaine appelée les Dogons. Les Dogons se disaient les descendants d'un peuple du Proche-Orient, probablement les Sumériens eux-mêmes, qui avaient transporté leurs traditions orales pendant des milliers d'années.
Respectés par les Dogons, les archéologues ont été initiés au secrets de la tribu. Ils accordaient une attention particulière à l'étoile Sirius, car la créature amphibie leur avait dit être venue d'une planète aquatique de ce système stellaire. Sirius est notre étoile la plus lumineuse. Généralement appelé l'Etoile du Chien, elle se trouve à environ 7 années lumière de notre Soleil. Parmi l'ensemble considérable des informations astronomiques que la créature avait fournie, y compris ce que l'on pourrait rapprocher d'une description de la théorie du big bang, il y avait la mention que Sirius était en réalité un système de trois étoiles. Selon la créature le système de Sirius a une grand étoile, puis un second astre, minuscule, très dense et presque invisible, et un troisième soleil moins lourd. Le deuxième soleil était décrit comme très lourd en dépit de sa petite taille, une notion que l'on ne s'attend pas à entendre exposée par un peuple Africain traditionnel. Ils ont également décrit comment Sirius A tournait sur son axe. Coupant les orbites de ces trois soleils, l'orbite de la planète de la créature était "en forme d'oeuf" et a mettrait cinquante ans à parcourir son orbite.
L'équipe française a enregistré leur histoire et l'a plus tard publiée. A l'époque les scientifiques pensaient que Sirius était un système d'étoiles binaires, bien que quelques astronomes aient spéculé de la possibilité qu'il y ait trois étoiles. Le sujet fut oublié jusqu'aux années 70 où les scientifiques à l'aide des derniers télescopes les plus puissants du moment purent finalement obtenir de bonnes photos du système de Sirius. A leur stupéfaction c'était un système à trois étoiles avec un grand soleil, une étoile naine blanche, très lourde et quasiment invisible, et une troisième étoile moins puissante, non encore vue, seulement soupçonnée, et dont l'existence très probable a été calculée en 1995.
Employant l'informatique, des astronomes ont alors calculé qu'une planète qui serait dans la position qui avait été décrite par le Dogons aurait une orbite "en forme d'oeuf," c'est à dire elliptique, et mettrait cinquante ans à accomplir une révolution. Ce que les Dogons avaient expliqué au moins quarante ans avant que nos télescopes plus puissants purent même constater l'existence de la troisième étoile de Sirius. C'est ainsi que l'on en vint à suggérer que les Dogons avaient bien du obtenir ces informations d'une source extraterrestre.
En y regardant de plus près, il apparaît qu'il n'y a pas de preuve. Oui, en effet parmi les traditions des Dogons, il y a celle d'un contact extraterrestre, mais, non, on ne peut pas dire qu'il est absolument certain qu'il ait été impossible que les Dogons prennent connaissance de ce que Sirius soit un système de trois étoiles autrement que par un contact extraterrestre.
D'un autre côté, le cas n'est pas clôt. Il reste au moins une indication des Dogons à propos de la troisième étoile de Sirius qui pourra s'avérer exacte ou fausse selon les découvertes futures des astronomes...
Les Dogons est la dénomination d'un peuple vivant sur le plateau desséché de Bandiagara au Mali et qui font état dans leur tradition, d'une cosmogonie si fantastique qu'elle semble tout droit sortir d'un roman de science-fiction. Le peuple Dogon affirme descendre des habitants d'une planète orbitant autour de Sirius... Ils pensent que Sirius possède un compagnon plus petit et surtout plus lourd qu'ils nomment PO.
Ce sont deux ethnologues français , Marcel GRIAULE et Germaine DIETERLEN qui après avoir été initiés par un prêtre Dogon en 1946, publieront après 4 ans d'enquêtes en 1951 une étude dans le journal de la " Société des Africanistes" sous le titre: " Un système soudanais de Sirius", suivi d'un ouvrage intitulé "Le renard pâle" sous-titré " le mythe cosmologique , travaux et mémoire de l'Institut d'Ethnologie à Paris" où ils ont fait le récit de ce que leur a dévoilé, ce prêtre sur la vision des Dogons de l'Univers et ce qu'ils ont raconté alors, était tellement extraordinaire, que personne ne voulut les croire.
La connaissance astronomique des Dogons leur avait été importée des étoiles proches de Sirius A par un être qui allait devenir leur maître, et qu'ils nommèrent Nommo, selon leurs paroles. Parmi cet apport de connaissances, il était question de Sirius B et d'un diagramme gravé et retranscrit par les Dogons, il y a des générations...
Pendant de nombreuses années, ce diagramme est resté incompréhensible, jusqu'à ce que l'on découvre avec nos nouvelles techniques d'observations que Sirius A avait une jumelle qui gravitait autour d'elle! La ressemblance entre les deux prolongations linéaires (Dogons et moderne) était frappante!
La danse Awa des Dogons Les Dogons prétendent, en premier lieu, connaître depuis longtemps deux étoiles compagnes de Sirius qui est l'étoile la plus brillante du ciel et que l'on peut voir, en début de Février presque au dessus de notre tête, en Guadeloupe vers 20 heures. Mais à l'œil nu, on ne peut apercevoir qu'une seule étoile et ce n'est qu'en 1862 que, l'astronome américain Alvan CLARKE découvrit, grâce à un télescope puissant, la deuxième étoile qui fut nommée alors: Sirius B . Cependant les Dogons eux affirment qu'il existe une troisième étoile, que nous pourrions nommer Sirius C, et ils nous disent surtout que leurs ancêtres seraient justement venus, il y a des millénaires, d'une planète en orbite autour de cette troisième étoile que nous ne connaissons pas encore.
Ils affirment que Sirius possède d'abord un compagnon plus petit et surtout plus lourd qu'ils nomment PO Tolo ou Po-Digitaria du nom d'une graine de céréale, africaine très petite et très lourde qu'ils utilisent régulièrement.
Mais surtout les Dogons savent que Sirus B (Po-tolo) boucle son orbite elliptique autour de Sirius A en 50 ans et c'est pour cela que ces Dogons célèbrent tous les cinquante ans, la " fête de Sigui " dont les cérémonies visent à régénérer le Monde, mais aussi pour que les récoltes des Dogons soient bonnes.
C'est d'abord l'allemand Bessel qui fut le premier, en 1844, à soupçonner l'existence de cette 2ème étoile, pour expliquer les oscillations insolites du mouvement apparent de Sirius A, alors que l'orbite théorique de cette étoile Sirius B, on le sait, invisible à l'œil nu, fut calculé par Peter en 1851 et sa période de révolution fut précisé de 50090 ans par Van Den Bas en 1960. Les Dogons le savaient déjà! Mais comment ont-ils su que la période de révolution était justement de 50 ans.
Sirius B est ce que l'on appelle une "naine blanche". Elle est plus vieille que Sirius A, mais ne mesure que 30000 Km environ de diamètre, 2 fois et demi celui de la Terre et sa densité est de 50000 alors que sa masse atteint 90% de celle de notre Soleil. Mais que dire de cette troisième étoile Sirus C que les Dogons affirment connaître? Ils la nomme " Emma Ya " ou "Sorgo" ou encore "L'étoile des femmes" et ils disent que cette étoile a une période de révolution de 32 ans autour de Sinus A, sur une orbite elliptique très excentrique et qui est, (et cela est plutôt remarquable comme prècision), perpendiculaire à celle de Sirus B. Les Dogons, qui ont dessinés ces orbites sur leur objets précieux sans doute pour mieux les visualiser, affirment surtout que Emma ya, possède plusieurs planètes en orbite autour d'elle et que c'est de l'une de ces planètes, que seraient venus leurs ancêtres, il y a très longtemps à bord du NOMMO vaisseau inter-stellaire dont la forme et le comportement ressemble beaucoup à ceux de la fusée lunaire Apollo.
En 1991 dans la revue "Astronomy & Astrophisics" , les astronomes, Jean Marc Bonnet-Bidaud et Cécile Gry nous disent qu'ils en soupsonnent l'existence par suite de la constatation d'un changement de couleur du système, à travers les ages, et pensent que cet hypothétique troisième compagnon de Sirius pourrait bien avoir une orbite très aplatie comme une comète et après analyse grâce à un coronographe occultant la lumière aveuglante de Sirius A, ils ont sélectionné deux d'entre ces corps voyageurs sans arriver encore à déterminer lequel de ces astres montre le même mouvement propre que Sirius. Cependant dès les années 1920 une demi-douzaine d'astronomes rapportèrent l'observation d'une 3ème étoile très faible susceptible d'appartenir au système, mais aucune confirmation n'a pu émerger jusqu'alors.
Les Pétroformes sont des arrangements de pierres selon une mystérieuse mais précise disposition. Ils pourraient être comparés à des cercles de pierres " celtiques ", ou tout autre arrangement de matériaux premiers laissés par les civilisations passées.
D'un peu plus loin on pourrait peut-être esquisser une similitude entre les fameux "Crop Circles" et les Pétroformes.
Certains ont été retrouvés en Afrique de l'ouest, la terre des Dogons, mais également ailleurs dans le monde. Rien ne relie toutefois les pétroformes directement aux Dogons, mais en comparant l'image d'un pétroforme avec l'orbite particulier des étoiles SIRIUS et SIRIUS B, ont constate une étrange similitude.
Les derniers travaux menés par les astronomes jean-Louis Duvent et Daniel Benest de l'observatoire de Nice qui utilisèrent des simulations numériques d'ordinateurs, semblent renforcer l'hypothèse de l'existence du 3ème corps d'une masse très faible, de 0,5 fois au plus la masse solaire et de magnètude apparente de 5 à 10 fois plus faible que Sirius A.
D'ailleurs les Dogons ont également d'autres connaissances astronomiques toutes aussi étonnantes de la part d'une tribu arriérée qui vit au centre d'Afrique et pratiquement sans contact extérieur. Ils connaissent les différentes phases de Vénus, qui sont à peu près analogues à celles de la Lune et ils ont donné 6 noms différents aux divers aspects que présente, d'après eux, cette planète comme s'ils avaient su comment faire pour l'observer de l'extérieur. D'autre part, ils divisent le Ciel en 22 parties égales et en 266 constellations et ils disent aussi que Venus possède un compagnon, qui pourrait être sans doute l'astéroïde Toro, récemment découvert entre la Terre et Vénus. Ils connaissent aussi les 4 plus gros satellites de Saturne pourtant invisibles à l'œil nu, mais ils ignorent cependant les planètes au delà de Saturne donc Uranus, Neptune et Pluton alors qu'ils connaissent les compagnons stellaires de Sirius. Il est donc évident que ces Dogons n'ont pas pu , par eux même, acquérir leurs connaissances et ils ne peuvent en avoir eu la révélation, que par des initiateurs cosmiques.
Les Dogons prétendent aussi que tout l'Univers tourne en spirale conique et qu'il a été créé à partir d'un noyau central par la voix d'AMMA leur dieu suprême et cela ressemble assez à ce qui est dit dans la Bible tel qu' "Au commencement était le Verbe de YaHWeH". Pour eux l' Univers est infini, mais cependant mesurable, ce qui rejoint les théories d'Einstein et de plus, ils croient que les mondes infinis s'éloignent de nous à des vitesses très grandes dans un mouvement spiralé donc par une combinaison de translations et de rotations, combinaison qui se retrouve aussi bien disent-ils dans les structures élémentaires infiniment petites que dans celles infiniment grandes et nous voyons là qu'ils anticipent ainsi sur les conclusions les plus modernes concernant l'expansion et la structure de notre Univers.
La tradition des Dogons, que nous raconte le prêtre OGOTEMMELI, dit aussi que leurs ancêtres étaient des amphibiens et c'est pour cela qu' ils célèbrent l'anniversaire de leur arrivée sur Terre sous le nom de "jour du Poisson" et cela fait encore penser à la tradition Sumérienne qui nous parle d' OANNES l'homme poisson qui apparut à plusieurs reprises sur les plages du Golfe Persique pour civiliser et éduquer les hommes. Le NOMMO était rouge comme le feu quand il atterri au Nord-est du pays, dans un tourbillon de poussière, puis il fut traîné dans une dépression remplie d'eau et il put ainsi flotter. Puis les astronautes amphibiens sortirent de la capsule. D'ailleurs l'eau joue un grand rôle chez les Dogons qui considèrent que l'eau douce est de nature masculine et l'eau de mer de nature féminine que cette eau est la force vitale de la terre, force qui se trouve même à l'intérieur de la pierre car l' humidité est partout.
NOMMO, qui désigne aussi le Commandant du vaisseau, est descendu sur la terre, porteur de fibres végétales tirées des plantes qui poussaient déjà dans les "champs du Ciel" et après avoir créé la Terre, les plantes et les animaux, il créa le premier couple humain, qui engendra par la suite, les huit grands ancêtres de l'Humanité. Sa tâche terminée, NOMMO regagna le Ciel.
Ceci se rapproche, on le voit , de beaucoup d'histoires connues, et on découvre bien ici, que les Dogons savent qu'il existe des Terres cultivées ailleurs, dans le ciel, alors qu'il n'y a pas bien longtemps en 1772 certains savants dont le grand chimiste Lavoisier, pensaient que les météorites ne pouvaient tomber du ciel car d'après eux, "il n'y avait pas de pierres dans le ciel". Mais ce sont les révélations sur l'eau, que nous raconte ce prêtre dogon, qui sont encore plus surprenantes, quand on sait que la science actuelle n'a que récemment découvert la possibilité d'obtenir de l'eau à partir de la roche du sol, en voulant optimiser les possibilités de survie des hommes qui pourraient séjourner sur la Lune pour de longues périodes et cela extrayant de ces pierres lunaires, à l'aide de procédés très pointus et onéreux, l' hydrogène et l' oxygène à l'origine de la molécule d'eau.
Les connaissances cosmiques, extraordinaires, des Dogons, nous interpellent, dès maintenant, et on se demandera longtemps encore, comment ils ont pu connaître tout cela, sans microscope ni télescope, et sans appliquer les mathématiques supérieures qui nous ont été nécessaires pour progresser. Et on peut, si tout cela est vrai, alors émettre l'hypothèse que le passé de notre planète serait bien plus fabuleux et révélateur que celui que l'on nous a jusqu'alors, si modestement présenté.