Forum spiritualité, loi de l'attraction, developpement personnel
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1 - Le désir même d'être libre empêche de se libérer. Tout désir est une chaîne, un emprisonnement. La transformation est possible, mais pas en la désirant. La transformation n'est possible qu'en se relaxant dans « ce qui est ».
2 - Pour établir l'Unité Parfaite, la Conscience doit s'unifier à elle-même dans tous ses aspects personnels en ne rejetant rien de ce qui appartient à la réalité vécue (Peur, colère, jalousie, cupidité, frustration...).
3 - En rejetant des réalités vécues, vous vous comportez comme une autruche et vous vous fragmentez. Plus vous êtes fragmenté, plus vous êtes malheureux. La première étape vers la félicité est d'être UN, être plusieurs c'est être en enfer. Rien de ce dont on fait l'expérience comme un fait ne doit être nié de la réalité.
4 - La Conscience doit se désidentifier de tout « soi » conceptuel et fixe. Tant qu'elle s'attachera à être un « soi » conceptuel et durable, il n'y aura aucune tolérance envers les réalités vécues qui entrent en compétition avec ce « soi » officiel conceptuel et fixe.
5 - C'est l'idéal qui crée le problème. Si vous n'avez aucun idéal, alors il n'y a aucun problème. Vous êtes un lâche ? Et bien vous êtes un lâche. Et parce qu'il n'y a pas l'idéal d'être brave, vous ne condamnez pas le fait (la lâcheté), vous ne le rejetez pas, vous ne le réprimez pas.
6 - Si une blessure fait surface, c'est bien. Elle est sur le chemin de la guérison. Si vous la forcez vers l'intérieur, si vous ne la laissez pas faire surface, alors elle va se transformer en un cancer. Même une petite maladie réprimée peut devenir dangereuse.
7 - Plus vous avez d'idéaux, plus vous souffrirez et plus vous serez hypocrite parce que si vous ne pouvez pas satisfaire vos idéaux, alors il faut au moins prétendre. C'est comme cela que l'hypocrisie entre en jeu. Le monde ne sera pas hypocrite si nous acceptons les faits de l'expérience sans jugement.
8 - Le « est » est tout ce qu'il y a. N'ayez pas d'idée particulière sur vous-même. Si vous avez l'idée d'être une personne brave, alors être un lâche apparaît comme très laid. Mais la lâcheté est un fait, et l'idéal est juste une idée, une fantaisie du mental.
9 - Sacrifiez, oubliez ces fantaisies pour la réalité, laissez tomber tous les idéaux et la vie commence alors à s'intégrer. Le réprimé commence à faire surface. Pour la première fois, vous commencez à ressentir une sorte d'unification. Vous n'êtes plus en pièces.
10 - Pour amener une unité personnelle dans la conscience, il faut fermement résister à être quelque chose de fixe, de durable et s'appréhender au contraire comme la simple réalité vécue d'instant en instant qui s'élève dans la Conscience. D'un moment à l'autre, ce qui arrive est accepté (Colère, peur, haine...). Alors vous devenez UN et cette unité est la chose la plus importante à comprendre.
11 - Le ciel est accessible mais seulement à ceux qui ont des racines plantées profondément dans la terre. La première chose est d'envoyer ses racines profondément dans la terre, dans le sol de la vérité, et la vérité est « ce que vous êtes ». La seconde chose (L'Unicité, la transformation...) se produit spontanément. Plus les racines s'enfoncent, plus l'arbre ira haut. Il n'y a pas besoin de faire autre chose.
12 - Soudainement les choses vont commencer à arriver. Vous allez vous élever. Les idéaux que vous avez toujours tenté d'atteindre et que vous n'avez jamais pu réaliser vont commencer à se produire spontanément. Si une personne accepte sa personne comme « elle est », cette acceptation elle-même fait disparaître toutes les tensions. L'angoisse, l'anxiété, le désespoir... disparaissent naturellement. Alors soudainement, comme par enchantement, il y a de la joie, de l'amour, de la compassion... Ce ne sont pas des idéaux, ce sont des phénomènes très naturels !
13 - Tout ce qu'il faut, c'est enlever les idéaux. Car ces idéaux fonctionnent comme des blocages. Plus un Homme est idéaliste, plus il est bloqué.
14 - La paix ne peut être trouvée qu'au cœur de la souffrance et jamais en luttant contre ou en s'enfuyant devant ce qui est considéré comme étant négatif ou douloureux. La paix ne peut être obtenue qu'en acceptant et en absorbant le douloureux, pas en le rejetant.
15 - Seul la communication avec la souffrance psychologique ouvre la porte de la libération. Tout ce qui est douloureux doit être accepté, un dialogue doit être créé avec lui. La souffrance psychologique finit lorsqu'on l'accepte dans sa totalité.
16 - C'est la résistance aux faits, leur interprétation, qui crée la douleur. La souffrance psychologique est votre propre création. La lâcheté (Ou la peur, la colère, la jalousie...) n'est pas douloureuse, simplement que la lâcheté est mauvaise, votre interprétation qu'elle ne devrait pas être là.
17 - Rien n'est détruit en étant rejeté. Tôt ou tard vous devrez y faire face. Encore et encore... cela troublera votre paix. Ce n'est que quand le mental recule devant un fait ou une réalité vécue qu'il y a souffrance. Ne reculez pas ! Reculer devant un fait crée la souffrance. Au moment où vous décidez de rejeter quelque chose, la souffrance apparaît.
18 - Si la Conscience dans la dualité est la cause de la souffrance, alors seul la Conscience dans l'Unité peut éliminer la souffrance. Dans l'Unité se trouve la fin de la souffrance.
19 - Cette division que vous créez entre le ressenti et vous fait que vous devenez « deux ». Vous devenez l'observateur et l'observé. Cette dualité (Vous et le ressenti) crée la souffrance. Vous n'êtes pas l'observateur, vous n'êtes pas l'observé, vous êtes les deux. Ne dites pas « J'ai peur », c'est une mauvaise façon de le dire. Dites simplement « Je suis peur ». Ne créez pas de division (cf Jiddu Krishnamurti et la peur, « L'observateur est l'observé »). Ceci est la non-unité de base ! Dites « Je suis peur » et observez. Lorsque qu'il y amour, vous êtes amour ; lorsque qu'il y a de la colère, vous êtes colère.
20 - Ne créez pas cette division entre sujet et objet. Ceci est la cause de toute misère, de toute séparation. Ainsi, on ne doit pas porter de jugement de valeur, on ne doit pas étiqueter ni avoir un quelconque désir ou un but par rapport à ce qui apparaît dans le champs de la Conscience.
21 - Il ne doit y avoir aucun sens d'évitement, de résistance, de condamnation, de justification, de distorsion, ni d'attachement à l'égard de ce qui apparaît mais seulement une vigilance qui ne choisit pas. Alors une communion avec soi-même s'établit.
22 - Une vigilance qui ne choisit pas, voilà la clef ultime pour ouvrir le mystère le plus profond de votre être. Laissez « être » comme c'est. Lorsque sans condamnation ou justification « Vous êtes là », alors dans cette vigilance qui ne choisit pas, toute souffrance psychologique s'évapore simplement comme la rosée dans le soleil du matin. Et derrière il reste un espace pur, un espace vierge. Ceci est l'Un, le Tao, ou vous pouvez l'appeler Dieu.
23 - Soyez la vérité et la vérité vous libérera. Tout ce qui « est » est beau, même la laideur. Ce qui « est » est, que vous l'acceptiez ou pas. Votre acceptation ou pas n'y change rien. Si vous l'acceptez, vous avez de la joie qui apparaît en vous, si vous la rejetez, vous avez de la souffrance. Mais la réalité reste la même. Cela ne change pas les faits, cela change votre réalité psychologique.
24 - La vérité libère mais vous la rejetez. C'est pourquoi vous avez des chaînes. Si vous l'acceptez, il y aura de la joie, de la célébration, de la santé, et de la complétude.