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 La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons

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siguan
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MessageSujet: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Lun 27 Jan - 19:48

Bonsoir à tous!

Un petit pavé à lire pour ceux que ça intéresse. J'étais tombé là-dessus sur un site de medecine chinoise. Et je trouve ça... troublant!

Critique de la chimiothérapie, arme ultime de la lutte anti-cancer par la regrettée Sylvie Simon.

Je ne fais pas l'apologie du tout naturel pour le cancer, bien au contraire quand il faut il faut! Sans chimio je n'aurais pas connu mon père qui a vécu 24ans de plus grâce aux chimio et autres greffes de moelle. Mais disons que ça m'a fait réfléchir.

Site internet ici

La vérité très indésirable sur la chimiothérapie par Sylvie Simon

Cela fait des années que la chimiothérapie est dénigrée par de très nombreux cancérologues, français et américains et non des moindres, ont osé exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par les voies classiques.

Hardin B Jones, alors professeur de Physique médicale et de Physiologie à Berkeley, avait déjà communiqué en 1956 à la presse les résultats alarmants d’une étude sur le cancer qu’il venait de mener durant vingt-trois ans auprès de cancéreux et qui l’avait conduit à conclure que les patients non traités ne mourraient guère plus vite que ceux qui recevaient la chimiothérapie, bien au contraire. « Les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi. Ceux qui se sont soumis à l’intervention chirurgicale et aux autres traitements traditionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement[1]. » Et le Dr Jones soulevait aussi la question des sommes fabuleuses engendrées par le « Cancer business ». Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n’ont jamais été réfutées. (Walter Last, The Ecologist, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)

Le 4 octobre 1985, le Pr. G.eorges Mathé confirmait à L’Express : « Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu’on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires [ce qu’il  appelait la « cancer-connection], et pour cause : ils en vivent. Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anticancéreux » (cf. Le Monde, 4 mai 1988). À son tour, le Dr Martin Shapiro écrivait dans un article « Chimiothérapie : Huile de perlimpinpin ? », : « Certains cancérologues informent leurs patients du manque d’évidence que ce traitement soit utile, d’autres sont sans doute égarés par l’optimisme des parutions scientifiques sur la chimiothérapie. D’autres encore répondent à une stimulation économique. Les praticiens peuvent gagner davantage en pratiquant la chimiothérapie qu’en prodiguant consolation et apaisement aux patients mourants et à leurs familles. » (cf. Los Angeles Times, 1er septembre 1987).

Cet avis est largement partagé par les docteurs E. Pommateau et M. d’Argent qui estiment que la chimiothérapie « n’est qu’un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la radiothérapie. Elle ne résout pas le problème capital des réactions de l’hôte qui devrait être, en dernier ressort, les seules à rechercher pour arrêter la poussée cancéreuse »  (Leçons de cancérologie pratique).

Pour sa part, le Pr Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier, a déclaré à maintes reprises que « ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d’expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd’hui trop souvent occultée : 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles ».

Pour eux, comme pour bien d’autres médecins, les seuls cas de guérison avec cette thérapeutique sont des cas qui peuvent guérir spontanément, c’est-à-dire dans lesquels l’hôte peut organiser ses propres défenses. Il est difficile d’être plus clair : la chimiothérapie ne sert à rien ! Et pour la progression des cas de guérisons, le Dr Jean-Claude Salomon, directeur de recherche au CNRS, cancérologue, estime que le pourcentage de survie à cinq ans après le diagnostic initial s’est accru pour la seule raison que l’on sait faire des diagnostics plus précoces, mais que s’il n’est pas accompagné d’une baisse de la mortalité, l’augmentation du pourcentage de survie à cinq ans n’est pas un indice de progrès. « Le diagnostic précoce n’a souvent pour effet que d’allonger la durée de la maladie avec son cortège d’angoisse. Cela contredit bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques. » (cf. Qui décide de notre santé. Le citoyen face aux experts, Bernard Cassou et Michel Schiff, 1998) Le Dr Salomon précise qu’on comptabilise sans distinction les vrais cancers et des tumeurs qui n’auraient sans doute jamais provoqué de maladie cancéreuse, ce qui contribue à augmenter artificiellement le pourcentage des cancers « guéris ». Cela augmente aussi, évidemment, celui des cancers « déclarés ». Encore un fait confirmé par le Dr Thomas Dao, qui fut directeur du département de chirurgie mammaire au Roswell Park Cancer Institute de Buffalo de 1957 à 1988 : « Malgré l’usage répandu de la chimiothérapie, le taux de mortalité par cancer du sein n’a pas changé ces 70 dernières années. » Ainsi que par John Cairns, Professeur de microbiologie à l’université d’Harvard, qui a publié en 1985, une critique dans le Scientific American : « À part quelques rares cancers, il est impossible de déceler une quelconque amélioration par la chimiothérapie dans la mortalité des cancers les plus importants. Il n’a jamais été établi que n’importe quel cancer peut être guéri par la chimiothérapie. » Nouvelle confirmation du Dr Albert Braverman, hématologue et cancérologue New Yorkais, dans le Lancet : « De nombreux cancérologues recommandent la chimiothérapie pour pratiquement toutes les tumeurs, avec un optimisme non découragé par un échec quasi immanquable […] aucun néoplasme disséminé, incurable en 1975, n’est guérissable aujourd’hui. » (cf. La Cancérologie dans les années 1990,  vol. 337, 1991, p.901). Quant au Dr Charles Moertal, cancérologue de la Mayo Clinic, il admet que : « Nos protocoles les plus efficaces sont pleins de risques et d’effets secondaires ; et après que tous les patients que nous avons traités aient payé ce prix, seule une petite fraction est récompensée par une période transitoire de régression incomplète de la tumeur. »

Alan Nixon, ancien Président de l’American Chemical Society, est encore plus radical : « En tant que chimiste, entraîné à interpréter des publications, il m’est difficile de comprendre comment les médecins peuvent ignorer l’évidence que la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien. »

Ralph Moss est un scientifique non médecin qui étudie le cancer depuis des lustres. Il écrit des articles sur le sujet dans de prestigieux journaux, tels que leLancet, le Journal of the National Cancer Institute, le Journal of the American Medical Association, le New Scientist, et a publié un ouvrage The Cancer Industry[2] : « Finalement, il n’existe aucune preuve que la chimiothérapie prolonge la vie dans la majorité des cas, et c’est un grand mensonge d’affirmer qu’il existe une corrélation entre la diminution d’une tumeur et l’allongement de la vie du patient. » Il avoue qu’il croyait autrefois en la chimiothérapie, mais que l’expérience lui a démontré son erreur : « Le traitement conventionnel du cancer est tellement toxique et inhumain que je le crains davantage que mourir d’un cancer. Nous savons que cette thérapie ne marche pas — si elle marchait vous ne craindriez pas davantage le cancer qu’une pneumonie. […] Cependant, la plupart des traitements alternatifs, quelles que soient les preuves de leur efficacité, sont interdits, ce qui oblige les patients à se diriger vers l’échec car il n’ont pas d’alternative. Le Dr Maurice Fox, professeur émérite de biologie au MIT (Massachusetts Institute of Technology)[3] a constaté, comme nombre de ses pairs, que les cancéreux qui refusaient les soins médicaux avaient un taux de mortalité inférieur à ceux qui les acceptaient.

Le Centre du Cancer de l’université McGill au Canada a envoyé un questionnaire à 118 médecins spécialisés dans le cancer des poumons afin de déterminer le degré de confiance qu’ils accordaient aux produits que les scientifiques de l’université étaient en train d’évaluer. On leur demandait d’imaginer qu’ils avaient un cancer et de dire quel médicament ils choisiraient parmi six autres en cours d’essais. Il y eut 79 réponses des médecins, parmi lesquelles 64, soit 81 % n’accepteraient pas de participer aux essais de la chimiothérapie à base de Cisplatine qu’ils étaient en train de tester et 58 autres médecins parmi les mêmes 79, soit 73 %, estimaient que les essais en question étaient inacceptables, étant donne l’inefficacité des produits et leur degré élevé de toxicité[4].

De son côté, le Dr Ulrich Abel, épidémiologiste allemand du Centre du cancer de Heidelberg-Mannheim, a passé en revue tous les documents publiés sur la chimiothérapie par plus de 350 centres médicaux à travers le monde. Après avoir analysé, pendant plusieurs années, des milliers de publications, il a découvert que le taux global de réussite de la chimiothérapie à travers le monde était « lamentable », seulement 3 %, et qu’il n’existe tout simplement aucune preuve scientifique indiquant que la chimiothérapie pouvait « prolonger de façon sensible la vie de patients souffrant des cancers organiques les plus courants ». Il qualifie la chimiothérapie de « terrain vague scientifique » et affirme qu’au moins 80 % de la chimiothérapie administrée à travers le monde est inutile et s’apparente aux « habits neufs de l’empereur », alors que ni le docteur ni le patient ne souhaitent renoncer à la chimiothérapie. Le Dr Abel a conclu : « Nombre de cancérologues tiennent pour acquis que la chimiothérapie prolonge la vie des patients. C’est une opinion fondée sur une illusion qui n’est étayée par aucune des études cliniques[5] ». Cette étude n’a jamais été commentée par les grands médias et a été entièrement enterrée. On comprend pourquoi.

En résumé, la chimiothérapie est elle est très toxique et ne peut faire la différence entre les cellules saines et les cellules cancéreuses. Elle détruit peu à peu le système immunitaire qui ne peut plus protéger le corps humain des maladies ordinaires. Quelque 67 % des gens qui meurent pendant le traitement de leur cancer le doivent à des infections opportunistes qui n’ont pas été combattues par le système immunitaire.

L’étude la plus récente et significative a été publiée par le journal Clinical Oncology[6] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[7] de l’Université de New South Wales-St. Vincent’s Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.

Leur travail minutieux est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie. Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main. Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit  2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis.

« Certains praticiens restent pourtant optimistes et espèrent que la chimiothérapie cytotoxique[8] prolongera la vie des cancéreux », ont déclaré les auteurs dans leur introduction. Ils demandent à juste raison, comment il se fait qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années, continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai qu’on peut leur répondre que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre.

Massoud Mirshahi, chercheur à l’université Pierre et Marie Curie et son équipe ont découvert en 2009 que de nouvelles cellules du micro-environnement tumoral seraient impliquées dans la résistance à la chimiothérapie des cellules cancéreuses et les récidives avec l’apparition de métastases. Ces cellules ont été appelées « Hospicells », car elles servent de niches qui ont la propriété de fixer un grand nombre de cellules cancéreuses et de les protéger de l’action de la chimiothérapie.
Les « Hospicells » proviennent de la différenciation des cellules souches de moelle osseuse, et sont présentes dans les épanchements chez les malades atteints de cancers (liquide d’ascite, épanchements pleuraux). Les cellules cancéreuses, agglutinées autour d’une « Hospicell », forment de véritables petits nodules cancéreux.

Dans ces nodules ont été également identifiées des cellules immuno-inflammatoire. 
La microscopie électronique a démontré qu’il y avait des zones de fusion entre les membranes des « Hospicells » et celles des cellules cancéreuses, permettant le passage de matériel d’une cellule à l’autre. De plus, les chercheurs ont observé le transfert de matériel membranaire de l’« Hospicell » vers les cellules cancéreuses, phénomène appelé trogocytose. Plusieurs autres mécanismes, comme le recrutement des cellules immunitaires suppressives ou la sécrétion de facteurs solubles par les « Hospicells » aident aussi à la résistance des cellules cancéreuse contre la chimiothérapie.
Compte-tenu de cette importance, il est suggéré que les cellules cancéreuses « nichées » sur une « Hospicell » pourraient être considérées comme responsables de la maladie résiduelle. Pour la recherche, il importe donc de trouver des drogues susceptibles à la fois de détruire les cellules cancéreuses et les « Hospicells »[9].

L’étude la plus significative a été publiée par le journal Clinical Oncology[10] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[11] de l’Université de New South Wales-St. Vincent’s Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.

D’autres études ont paru dernièrement : La première, publiée dans la revue Nature, indique qu’une grande majorité des études sur le cancer sont inexactes et potentiellement frauduleuses. Les chercheurs n’arrivent que rarement à répliquer les résultats des grandes études « de référence ». Parmi 53 études importantes sur le cancer, pourtant publiées dans des revues scientifiques de haut niveau, 47 n’ont jamais pu être reproduites avec des résultats semblables. Ce n’est pas une nouveauté d’ailleurs, puisque, en 2009, des chercheurs de l’University of Michigan’s Comprehensive Cancer Center avaient également publié des conclusions de célèbres études sur le cancer, toutes biaisées en faveur de l’industrie pharmaceutique. Et il reste de notoriété publique que certains médicaments contre le cancer provoquent des métastases.

Cette longue liste de publications, toutes négatives et non exhaustives quant aux « bienfaits » de la chimiothérapie, pourraient s’expliquer par les travaux de certains chercheurs de la Harvard Medical School à Boston (USA), qui ont constaté que deux médicaments utilisés en chimiothérapie provoquent le développement de nouvelles tumeurs, et non pas le contraire ! Il s’agit de ces nouveaux médicaments qui bloquent les vaisseaux sanguins qui « nourrissent » la tumeur. Les spécialistes les appellent traitements « anti-angiogénèse ». Ces médicaments, le Glivec et le Sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib), ont un effet démontré pour réduire la taille de la tumeur. Cependant, ils détruisent de petites cellules peu étudiées jusqu’à présent, les péricytes, qui maintiennent sous contrôle la croissance de la tumeur. Libérée des péricytes, la tumeur a beaucoup plus de facilité à s’étendre et à « métastaser » dans d’autres organes. Les chercheurs de Harvard considèrent donc maintenant que, bien que la tumeur principale diminue de volume grâce à ces médicaments, le cancer devient aussi beaucoup plus dangereux pour les patients ! (Cancer Cell, 10 juin 2012). Le Professeur Raghu Kalluri, qui a publié ces résultats dans la revue Cancer Cell, a déclaré : « Si vous ne prenez en compte que la croissance de la tumeur, les résultats étaient bon. Mais si vous prenez du recul et regardez l’ensemble, inhiber les vaisseaux sanguins de la tumeur ne permet pas de contenir la progression du cancer. En fait, le cancer s’étend. »

Une étude encore plus surprenante mais moins récente a été publiée par le journal Clinical Oncology[12] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[13] de l’Université de New South Wales-St. Vincent’s Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.

Leur travail minutieux est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie. Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main. Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit  2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis.

Enfin, une étude publiée dans la revue Nature Medicine en 2012, pourrait changer l’idée que l’on se fait de la chimiothérapie. Les chercheurs du Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle auraient en effet découvert que celle-ci déclencherait chez des cellules saines la production d’une protéine alimentant les tumeurs.

Alors que des chercheurs travaillaient sur la résistance à la chimiothérapie dans des cas de cancers métastasés du sein, de la prostate, du poumon et du colon, ils ont découvert par hasard que la chimiothérapie, non seulement ne guérit pas le cancer, mais active plutôt la croissance et l’étendue des cellules cancéreuses. La chimiothérapie, méthode standard de traitement du cancer aujourd’hui, oblige les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer.

Selon l’étude, la chimiothérapie induit la libération dans les cellules saines d’une protéine, WNT16B, qui aide à promouvoir la survie et la croissance des cellules cancéreuses. La chimiothérapie endommage aussi définitivement l’ADN des cellules saines, préjudice à long terme qui persiste longtemps après la fin du traitement par chimio.

« Quand la protéine WNT16B est sécrétée, elle interagirait avec les cellules cancéreuses proches et les ferait grossir, se répandre et le plus important, résister à une thérapie ultérieure, » a expliqué le co-auteur de l’étude Peter Nelson du Centre de Recherche Fred Hutchinson sur le cancer à Seattle, concernant cette découverte totalement inattendue. « Nos résultats indiquent que dans les cellules bénignes les réponses en retour peuvent contribuer directement à une dynamique de grossissement de la tumeur, » a ajouté l’équipe au complet selon ce qu’elle a observé.

Ce qui revient à dire : Éviter la chimiothérapie augmente les chances de recouvrer la santé.

Comment se fait-il qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre que « le protocole ». À quelle pression le cancérologue actuel est-il soumis pour choisir le traitement du patient ? Jadis, le bon médecin choisissait en son âme et conscience, selon le serment d’Hippocrate, le meilleur traitement pour son patient. Il engageait ainsi sa responsabilité personnelle après un entretien prolongé avec son malade.

« Depuis les années 1990 — et singulièrement de façon de plus en plus autoritaire depuis le plan cancer de 2004 — la liberté de soigner du cancérologue a disparu en France et dans certains pays occidentaux. Au prétexte fallacieux de la qualité des soins, tous les dossiers de patients sont “discutés” en réunion multidisciplinaire où, de fait, l’essai thérapeutique en cours testant les drogues nouvelles est imposé par la “communauté”. Le praticien qui souhaite déroger à ce système doit s’expliquer et encourt tous les ennuis possibles, en particulier celui de voir le service auquel il participe perdre son autorisation de pratiquer la cancérologie. » Le Dr Nicole Delépine résume ainsi ce qui peut arriver quand on s’éloigne des stricts protocoles pour les adapter à la situation personnelle des malades.

Seuls, 3 médecins sur 4 osent refuser la chimio pour eux-mêmes, en cas de cancer, en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l’organisme humain. Mais ce détail est bien caché aux malades.

Le Docteur Jacques Lacaze, diplômé de cancérologie et ardent défenseur des travaux du Dr Gernez sur le sujet, estime que la seule vraie solution est la prévention. « En effet, un cancer a une vie cachée de 8 ans en moyenne. Durant cette longue période, l’embryon de cancer est très vulnérable, un rien peut le faire capoter. TOUS les spécialistes admettent cette réalité, mais très peu d’entre eux préconisent une politique de prévention. Pourtant, elle est facile à mettre en œuvre. Nous savons que la courbe d’incidence du cancer démarre vers 40 ans, donc qu’un futur cancer s’installe vers 32 ans. L’étude SUVIMAX a montré qu’une simple complémentation en vitamines et sels minéraux suffisait à faire baisser cette incidence de cancers d’environ 30 %. Cette étude a duré 8 ans. Aucune conséquence en politique de santé publique n’en a été tirée. Bien entendu, l’industrie pharmaceutique ne veut pas en entendre parler : on ne scie pas la branche sur laquelle on est assis. Le corps médical est sous la coupe des “grands patrons” qui font la pluie et le beau temps et qui sont grassement rémunérés par cette industrie (cherchez sur internet, vous verrez que la plupart de ces grands patrons émargent d’une façon ou d’une autre à un laboratoire). Et la majorité des médecins de base suivent sans broncher ! Et malheur à ceux qui pensent le contraire et qui contestent chimiothérapie ou vaccins ou antibiothérapie. […] Je dois ajouter, car cela correspond à ma pratique et à des études réelles faites par quelques services spécialisés, de nombreux produits qualifiés de complémentaires ou alternatifs sont efficaces, mais interdits et pourchassés par les autorités aux ordres de l’industrie pharmaceutique. »

Pour en savoir plus, sur la prévention des cancers, vous pouvez consulter le site http://www.gernez.asso.fr

Il ne faut pas oublier dans cette affaire que seule la pression des personnes concernées, c’est à dire nous tous, fera plier ce système.

[1] Transactions of the N.Y. Academy of Medical Sciences, vol 6, 1956.

[2] Equinox Press, 1996.

[3] Membre de la National Academy of Sciences, de l’Institute of Medicine et de l’American Academy of Arts and Sciences.

[4] Cité par le Dr Allen Levin, dans son ouvrage The Healing of Cancer.

[5] Abel U. « Chemotherapy of advanced epithelial cancer, a critical review ». Biomed Pharmacother. 1992 ; 46(10) : (439-52).

[6] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.

[7] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.

[8] Propriété qu’a un agent chimique ou biologique d’altérer et éventuellement détruire des cellules.

[9] Oncologic trogocytosis of an original stromal cells induces chemoresistance of ovarian tumours. Rafii A, Mirshahi P, Poupot M, Faussat AM, Simon A, Ducros E, Mery E, Couderc B, Lis R, Capdet J, Bergalet J, Querleu D, Dagonnet F, Fournié JJ, Marie JP, Pujade-Lauraine E, Favre G, Soria J, Mirshahi M.

[10] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.

[11] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.

[12] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.

[13] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.




Voili voilou!

Belle soirée à tous!!!!
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Lun 27 Jan - 20:48

Ouch, je n’ai pas tout lu, car un peu long, j'y reviendrais surement, mais j'avais lu aussi des choses allant dans ce sens. Le cancer est ce qui rapporte le plus a l'industrie pharmaceutique, ils n'auraient pas d’intérêts a guérir les patients.
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Sam 15 Fév - 18:46

intéressant,gros pavé.

la chimio a ses détracteurs c'est classique car les effets indésirables sont nombreux.
mais cela a permis de prolonger la vie  de trés nombreuses personnes d'où le fait de son efficacité.
on ne guérit jamais d'un cancer,on est en rémission toute sa vie.
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Sam 15 Fév - 22:02

Bonsoir tulipe noir!
Oui, c'est ce que je disais plus haut. Pour l'avoir expérimenté indirectement, quand il faut il faut. Je ne me pose pas en détracteur, mais disons que ça fait réfléchir.

Belle soirée à toi
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Dim 16 Fév - 8:28

tu as raison il faut garder un esprit vigilant et réfléchi.
belle journée
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Lun 17 Fév - 6:50

Un vétérinaire en Allemagne nous avait dit qu'en cas de tumeur cancéreuse, il ne fallait pas faire opérer car l'animal mourrait plus vite. En France, on dit le contraire... et voit d'un très mauvais oeil le choix des personnes qui refusent chimio et intervention. Du coup ma chienne est morte alors qu'elle aurait pu vivre jusqu'à fin de vie. 
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Lun 17 Fév - 7:12

bonjour,
pour ta chienne, tu l'avais fait opéré ou pas ?
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Lun 17 Fév - 7:56

En Allemagne non, première consultation, mais arrivé en France, on nous a "obligé", cancer il faut opérer, on en parle plus. Elle est morte quelques mois après alors qu'elle allait très bien avant l'opération. Ces principes sont générées par leurs propres peurs, on évacue ce qui dérange. 
J'avais 5 ans quand j'ai perdu ma chienne, elle était comme une soeur. 

Ma tante a suivi une chimio pour un cancer de l'utérus, elle est morte en moins de deux ans durant la chimio. Mon grand-père qui avait un mauvais caractère (pas de médicament, pas d'hopital avec lui, on ne lui a pas dit qu'il était malade car il ne l'aurait pas supporté) a vécu 88 ans.

Après c'est pas non plus ainsi pour tout le monde mais à mes yeux, les vies qui passent aux infos et qui génèrent des % positifs en chimio sont minoritaires à ceux qui s'en sortent sans chimio malgré ce qu'ils racontent. Ils peuvent aussi mal évaluer la durée restante de vie (genre 3 ans alors que normalement la personne vit plus d'une dizaine, faire une chimio en pensant prolonger et se voir écouter à 5-6 ans). Ce qui est certain c'est qu'avec un cancer, la science n'est jamais sûre, c'est une maladie qui exploite la science aussi et pas uniquement la science qui l'exploite. J'y pensais justement ce matin pour un autre sujet : ils soignent les maladies qu'ils ont généré eux-mêmes. C'est pas tous les gens qui sont malades, on les rend malades. L'industrie de la maladie est celui qui marche le mieux au 21ème siècle, c'est rentable de gagner sur des malades tout comme dominer le monde avec ça. Excusez la mauvaise augure mais je suis choquée entre le siècle dernier et celui-ci, le nombre de personnes malades bat des records "génétiquement parlant"... 2 cas sur 3 sont d'ordre génétique. 
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Arwen
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Lun 17 Fév - 8:10

Ben ils guérissent, c'est grâce a la chimio ... ils meurt, c'est a cause du cancer ... comme ça la chimio est pas responsable ... genre. Franchement, avec tout ce que je sais maintenant, mieux vaut se faire soigner en Allemagne ! Car en France, entre le "ça existe pas", les "faux traitements", la mauvaise foi et  le train de retard ... on est moins sur de s'en sortir. En France, la chasse aux sorcières existe toujours, mais a l'encontre des médecins qui osent passer outre pour soigner des gens ... certains médecins sont encore persécutés de nos jours parce qu'ils soignent des gens avec des produits naturels (qui fonctionne pour l'avoir fait pour mon fil), des maladies qui n'"existent" pas en France (oui, c'est comme le nuage redioactif qui a fait le tour de la frontiere  joke ), mais qui sont prises en charge en Allemagne et bien reconnues. La France est comme un vieux con bornés dans sa connerie, une arriérée.
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Lun 17 Fév - 8:12

"mais à mes yeux, les vies qui passent aux infos et qui génèrent des % positifs en chimio sont minoritaires à ceux qui s'en sortent sans chimio malgré ce qu'ils racontent."




 je comprends ta réticence mais ton regard est faussé  par une notion d'affect.

bientôt les thérapies médicamenteuses "ciblées" seront beaucoup mieux tolérées et encore plus efficaces.

les chimiothérapies actuelles sont trés lourdes et font partie d'un arsenal qui est trés vastes et qui sauvent énormément de vie dans de nombreux pays.
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Lun 17 Fév - 8:14

ça vient de quelle source ces chiffres ? D'un magazine de médecin contrôlé par les lobbies ?

Ils faut savoir que souvent, les vies sauvé été en fait des cancer diagnostiqué a tord ... parfois même des tumeurs bénigne, c'est beaucoup le cas du cancer du sein. Certaines femme se font amputée d'un sein, alors que l’opération n’était pas nécessaire. C'est la majorité ... du coup, les chiffres gonfle énormément les vies "sauvée". Sauvée une vie qui en fait n'en avait pas besoin ... trop facile !
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Lun 17 Fév - 8:18

en France on sait que la chimiothérapie peut tuer,on connait les effets indésirables.
mais il y a toujours des médecins arriérés qui disent ta première phrase,Astya.

en France dans certains centres,on est en avance dans pas mal de domaine.

il est vrai que passer les frontières il y a une ouverture plus importante pour associer divers thérapies. c'est là le problème français.
c'est dommage mais cela changera .
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Lun 17 Fév - 8:26

mes sources:  les centres anti cancéreux d'un certains de pays dans le monde.

j'ai eu la chance de réunir  3 éléments:

-passionner de santé classique et en dehors des chemins battus avec une prédisposition au magnétisme et à la radiesthésie
-une profession dans le monde des ambassades donc une vie hors frontière trés mobile
-un nom reconnu dans le domaine de la cancéro (merci papa)  qui ouvre des portes.

j'ai vu en effet  des cancers qui n'en étaient pas mais là c'est un problème de compétence des médecins et de sérieux.
contre le cancer, la lutte est inégale selon l'endroit géographique où vous habitez et cela est valable de part le monde.
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Lun 17 Fév - 22:55

Ce n'est pas la science que je critique mais ceux qui la pratiquent, leurs intérêts à eux. Oui j'ai conscience qu'avec de la volonté et de la connaissance, les médicaments fonctionnent, mais c'est justement les personnes qui sont derrière en qui je n'ai pas confiance. Que ce soit hier ou aujourd'hui, la plupart de ces gens sont sur leur mental, les % font leur efficacité et ils en oublient que chaque humain est différent et que leurs tests ne sont pas infaillibles à chaque corps. Je voulais devenir une scientifique et j'ai changé de voie lorsque j'ai pris conscience de ce que signifiait travailler dans un laboratoire ou dans une équipe de scientifiques. C'est pas la joie mais une meute d'égos qui se mangent entre eux. Y a le mental mais le coeur se fait rare. Après ce n'est que l'aspect négatif que j'exprime.

Peu importe les sources, cela ne signifie pas que ces sources déclarées fiables disent la vérité ou promouvoit une vérité dans leur intérêt de faire leurs expériences directement sur des patients plutôt que d'attendre des siècles et dire "on a pas trouvé quelque chose de fiable". Il est clair que si on dit aux patients que certains seront soignés mais que d'autres en mouriront plus vite et que c'est indécelable, le nombre de personnes qui prétendent à une chimio serait diminué. C'est de la fausse publicité. 
Personnellement je ne me base plus sur la vérité des sources mais sur une synthèse de plusieurs sources pour exprimer mon point de vue sur ces sources. Je ne prends pas partie, je constate.

J'ai été confrontée à cette fameuse pillule pour réguler la menstruation, j'ai eu des infractus suivis d'un AVC en pleine période de lycée, ils n'ont déterminé la cause que plus tard et cela via le fait que d'autres femmes victimes des mêmes faits prenaient le même médicament. Les génériques pour la fièvre, migraine, etc... me mettent dans des états de psychose, de crises de somnambulisme, depuis je n'en prends plus et je n'ai pas ces problèmes. Faut savoir que ça a pas le même effet chez tout le monde, on est leurs cobayes aussi. 

J'ai connu une fille (avec une vie lourde de parents irresponsables) qui n'était pas malade mais n'avait juste pas mangé car ses parents la nourrissaient mal; elle s'est évanouie sous une chaleur d'été; ils l'ont conduit à la clinique, le médecin qui les a reçu, un énorme sourire sur la face et un air très "copain copain", a diagnostiqué une gastro qui n'était là, lui a prescrit des médocs qui eux l'ont cloué au lit alors que la logique aurait voulu que ce médecin demande à la fille "qu'est-ce que tu as mangé ces derniers jours ?". Sauf qu'il lui prescrit une seconde série de médocs encore ! Le problème aurait été réglé sans médicaments. De nos jours on ne sort pas du médecin sans ordonnance et la plupart des gens se croient malades. Son frère est mort de l'irresponsabilité du médecin à peine quelques jours après sa naissance qu'il a diagnostiqué qu'il n'avait rien alors que c'était grave (mais aussi de l'ignorance de ses parents qui répètent le schéma avec leurs autres enfants).

Ceci étant des exemples parmi tant d'autres... les gens qui m'entourent sont abonnés au docteur. Ils trouvent normal d'aller chez le médecin une fois par mois et sont étonnés quand ils n'attrapent aucun virus alors que c'est anormal comme forme de pensée. On ne vit pas pour aller mal toute sa vie.


Citation :
La France est comme un vieux con bornés dans sa connerie, une arriérée.




Au contraire ils ont réussi à faire penser ça aux gens, qu'ils sont idiots mais si ça se trouve, ils sont nettement plus avancés que les autres états mais le cachent bien. Cela les arrange que les gens soient fous, ils collent un dossier psychiatrique dès qu'une info passe à la télé; ils veulent + de mal que de bien, libérer un violeur qui viole 4 autres filles au passage, retourne à l'hopital, en resort... mais en quoi la maladie des uns regarde la vie d'autres innocents !? Ils veulent contaminer les gens ou quoi, détruire des vies saines alors que ce mal de trop peut être épargné, des procès non équitables pour les victimes; c'est leur "justice" qui fait d'autres victimes et ils n'ont sont pas responsables !? La drogue est quasiment légalisée car ils ne traquent pas ce qui "affaiblit" l'Homme. Du moment que les gens n'ont pas la tête dans les affaires de l'Etat, et qu'ils ont la tête dans des bêtises et dans les "preuves" de la nécessité du gouvernement aux infos, ils n'ont peur d'aucune critique, ils dominent le verbe. Le monde manque d'action, les gens sont devenus inaptes à réagir pour leur bien être, leur épanouissement... Bon je vais arrêter, je dramatise trop le négatif.
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Mar 18 Fév - 7:44

Corail,

il y a des brebis galeuses dans toutes les professions y compris dans le domaine de la santé.
vas passer plusieurs années dans différents centres spécialisés qui luttent contre le cancer et partages leur quotidien et leur nuit;tu changeras certaines de tes vues.
il faut avoir l'estomac bien accroché

comme dans tout il y a  de tout.

les bons en prennent plein la tête pour les mauvais là c'est injuste et intolérable,il me semble.

la France est en retard dans le fait que toit ce qui ne vient pas des médecins est jeté.
alors que dans d'autres pays la notion de médecine complémentaire ou de thérapie alternative est liée à la médecine et est respecté
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Mar 18 Fév - 8:06

Moi j’arrête de discuter sur le sujet, parce qu'entre l’incompétence des médecins, les plus fréquents. Le fais qu'on nous tienne dans l'ignorance. Le fait qu'on chasse les médecins compétents qui soignent a la maniere de pays voisins. On pourrait crier au crime contre l'humanité envers l'etat. Moi je ne parle pas que cancer hein ! mais de façon general. Les médecins sortant de l'ecole sont d eplus en plus incompetent, ça fait extremement peur !

Mon fils qui a été vu par une 10aines de doc spécialistes, depuis 7 ans ... n'a jamais été diagnostiqué ! On sait pas >>>> pedopsy.

C'est moi qui est fait son diagnostique et qui ai trouvé ! Sérieux ! je cherche depuis décembre. Son problème est physique et non neurologique, ni psy. De plus on ne nous a jamais envoyé en neuropdiatrie pour des tests etc etc etc. Et je ne parle pas de mes autres experiences, les miennes depuis une bonne décennie.

Non moi, le médecine, même si je ne retire pas qu'il y a aussi du bon et qu'on en a besoin (oui quand même, faut pas partir dans l’extrême), et je remettrais pas ma vie entièrement entre leur mains. Non mais ho, faut pas déconner.

Pour les magazines, je dis ça, parce que notre ancien généraliste les lisait et croyait tout savoir sur tout ... on a fini par le quitter.


Enfin moi, ce sont mes experiences, la vie qui m'a ammenée a ça ... chacun fait/croit/adhère a se qu'il veut  wink  et puis, il y  aussi du bon dans la medecine et heureusement  joke   calin PAF
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Mar 18 Fév - 9:03

Un exemple frappant:

Le virus du zona qui se développe facilement après un stress, ce stress réduisant le potentiel énergétique vital. Avec, en moyenne, deux séances de compensation énergétique (magnétisme ou autres), le zona et les douleurs post zostériennes disparaissent alors que les traitements classiques souvent lourds, ont peu d'effet et laissent trainer les patients avec des douleurs insupportables. J'en soigne régulièrement et bien souvent je les détecte à bonne distance, tellement la demande énergétique est importante.

Le zona, très douloureux, c'est quand même environ 300 000 cas par an avec 20 000 zonas ophtalmiques.

Traitements classiques: anti-viraux, antalgiques, anti-épileptiques et anti-dépresseurs avec effets secondaires. C'est une maladie qui maintient donc le niveau de stress avec un taux vibratoire bas et qui remonte difficilement.

Un vaccin devrait arriver sur le marché permettant d'éviter en gros 50% des zonas. Tout cela parait un progrès mais c'est un marché juteux et c'est curieux il n'est jamais mentionné que la compensation d'énergie vitale permet de résoudre très rapidement le problème de santé sans effet secondaire.
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Mar 18 Fév - 9:05

tu as un parcours très fort,Astya, et je dis:respect.

il y a du bon et du mauvais dans toute profession même si celle de la santé ne devrait qu'être "bonne".

les médecins qui sortent de la fac ne sont pas plus incompétents qu'avant,ils sont jeunes et ils ont reçu un formatage béton made in labo.

des cas similaires de combat ,on en rencontre beaucoup mais on a tendance à oublier le coté sain et formidable de la santé.
ce qui démontre un certain formatage: regarder que le coté néfaste des choses.

on devient méfiant et non vigilant. c'est là le problème.
en plus on a tendance à oublier que notre chemin de vie dépend de très nombreux facteurs que nous ne contrôlons pas.
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Mar 18 Fév - 9:14

le vaccin contre le zona est une aberration grandiose car la majeur partie de la civilisation a fait la varicelle.
nos labos jouent au sorcier.

cl777, tu oublies que l'homéo est très efficace,qu'il suffit d'une séance d'acupuncture pour permettre le retour à la normale et qu'une séance d'auriculomédecine est aussi efficace.

ces deux techniques permettant de comprendre pourquoi le zona est apparu avec deux regards d'approche diverse mais de base assez similaire.

mais il me semble que ce n'est pas le sujet,à mon avis
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Mar 18 Fév - 9:31

La tulipe noire, je n'oublie rien, je cite simplement un cas.

On peu se demander aussi pourquoi l'acupuncture pourtant reconnue n'est pas plus utilisée si elle est si efficace. Autant que je sache, il n'y a pas de blocage de la part de la médecine officielle.
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Mar 18 Fév - 9:42

tout dépend du pays et tout dépend de la qualité de l'acupuncteur.

il n'y a pas de blocage visible en France mais il y a des blocages très sournois que d'autres pays n'ont pas( secteur,surveillance par les caisses...)

de plus la mentalité française est très étriquée.

en Allemagne il existe des techniques pratiquées qui n'existent pratiquement pas en France,par exemple la neuralthérapie.
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Mar 18 Fév - 10:00

Si, les medecins ont un soucis avec l accupuncture et la medecine chinoise. Surtout quand elle est pratiquée par des non - médecins. En france il il y par moments et par départements de vraies "chasses aux sorcières".
En belgique c'est un peu différent, nous sommes protégé par une loi, votée mais pas encore au moniteur. Et les médecins se servent de ça. Des actions en justice sont menées, mais aboutissent toujours à un non-lieu. Et depuis quelques années ils sont calmés  lol 
Pourquoi? Parce que:
1. Il n'y a pas de fondement scientifique occidental. C'est juste une medecine qui soigne des gens avec succès depuis 4000 ans. Si peu.
2. Beaucoup de médecin ont essayé. Sisi. Il y a des pubs pour des formations médicales en deux week-ends par le docteur "trucmuch". 2 week-ends alors qu'une formation prend de 3 à 5ans, et qu'on reste un humble étudiant toute sa vie. On se retrouve avec des "aiguillotherapeutes" dont les patients sont soulagés 24hr puis reviennent avec les mêmes douleurs.
Donc pour eux bah... ça ne fonctionne pas!
3. Il y a beaucoup de charlatans malheureusement, qui n'ont pas de formation ou mélange tout et n'importe quoi sous prétexte que ça fait "oriental". Et enlève notre crédibilité.

Bref, oui, les médecins ont un soucis avec l accupuncture.

Enfin, je suis hors sujet et je m'emballe  lol 

Pout en revenir à nos moutons, il y a effectivement des bons et des mauvais, comme partout.
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Mar 18 Fév - 10:35

la tulipe noire a écrit:
il y a du bon et du mauvais dans toute profession même si celle de la santé ne devrait qu'être "bonne".
tres juste  great 
la tulipe noire a écrit:

des cas similaires de combat ,on en rencontre beaucoup mais on a tendance à oublier le coté sain et formidable de la santé.
ce qui démontre un certain formatage: regarder que le coté néfaste des choses.
Bien sur qu'il ne faut pa regarder que le mauvais coté des choses, la je suis d'accord avec toi  wink  un juste milieu encore une fois Smile
on devient méfiant et non vigilant. c'est là le problème.
Je ne suis pas d'accord. Si je ne me mefiais pas, on en saurait pas pour mon fils. Et la ou il n'y avait pas de traitement, maintenant on en a un. Donc, sans mefiance, tu cherche pas. Ceci dit, j'ai quand meme laissé mon fils suivre les traitement préconiser en parallele ;)Mais, j'ai informé ses spécialistes de mes démarche et je leur ai apporté le diagnostique. Par contre, j'ai été étonnée, car ils ont bien accueillie ma démarche et e diagnostique. Comme quoi tout n'est pas tout blanc ou tout noir. Les médecins sont parfois con et borné (formaté a fond et complétement fermé, malheureusement la majorité), mais parfois juste ignorant mais ouvert, et de ça, on en peut pas leur en vouloir. Donc je crois qu'il ne faut effectivement pas tout rejeter en masse, etre con quoi   joke  mais ne pas hésiter a aller voir ailleurs en parallèle. Sans méfiance, pour l'appendicite de mon fils, il aurait pu avoir de gros soucis et la, heureusement que je suis restée mefiante quant au diagnostique véreux du chirurgien. J'ai eu trop d'exemple de ce genre pur ne pas me mefier. Pour ce sproblemes de developpement, j'ai du reclamer le dossier de 7 ans (il a été suivie depuis l'age de 3 ans, maintenant il en a 10), l'etudier et faire mes propre recherches. J'ai decouvert que nous étions victimes du syndromes d'elhers et danos, un truc genetique, qui nous donne des problemes dysroprioceptifs et mon fils est très touché (ma fille probablement aussi). Heureusement, il existe une reeducation que nous commençons a mettre en place. Encore faut-il que mon fils soit cooperatif, ainsi que école, mais on verra bien. le probleme, c'est que ce problème n'est pas encore reconnu en France = pas de remboursement = tres cher et on dois faire 300km aller retour pour trouver un spécialiste competent. Portant decouvert au portugal dans les année 80 ... mais qu'est-ce qu'on fout en France ! Et encore, ce specialiste a etudier ce probleme, parce que son fils en était atteint.

tout dépend du pays et tout dépend de la qualité de l'acupuncteur.
Tous les acuponcteurs ne se valent pas, en effet.

de plus la mentalité française est très étriquée.
Complétement d'accord, pour ça que je la compare a un vieux con ou vieille rombière  lol 
en Allemagne il existe des techniques pratiquées qui n'existent pratiquement pas en France,par exemple la neuralthérapie.
En Allemagne, ils sont tres au fait de beaucoup de chose, semble-t-il. On s'est meme posé la question de partir en Allemagne (en plaisantant, mais parfois, on se demande si ça ne serait pas mieux  lol  ) mais bon, il y a peut-etre d'autre choses pas glop la bas.
Enfin, bref, peut-etre que c'est que chez moi que ça se passe ainsi, mais depuis plus de 10 ans (que dis-je, 20 ans même), je suis obligée de me battre pour faire reconnaitre un diagnostique car a chaque fois, ils sont a coté de la plaque. Et le pire, c'est qu'a chaque fois, c'est moi qui ai eu raison. Étant donné que je n'ai qu'un bac artistique, que je ne suis pas médecin, ça fait peur.
Peut-etre que ce n'est que pour moi, que ça fait partie de mon chemin vie, peut-etre ai-je quelque chose a comprendre ? je ne sais pas, mais c'est comme ça tout le temps. Du coup, je ne peut-etre que méfiante.
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Mar 18 Fév - 10:46

siguan a écrit:
Beaucoup de médecin ont essayé.  Sisi. Il y a des pubs pour des formations médicales en deux week-ends par le docteur "trucmuch". 2 week-ends alors qu'une formation prend de 3 à 5ans, et qu'on reste un humble étudiant toute sa vie. On se retrouve avec des "aiguillotherapeutes" dont les patients sont soulagés 24hr puis reviennent avec les mêmes douleurs.
y'en a meme qui te soulage 2 secondes  joke  lol 

j'ai eu le 2 seconde, ensuite, j'en ai trouvé un très competant et generaliste qui plus est, donc remboursé. Et si tu t'endort, vu qu'il a plusieurs salles, il te laisse dormir ... t'as pas interet a avir un rendez vous apres  lol  jap 

Non, mais heureusement, en cherchant bien, on trouve de bons spécialistes. Acuponcteurs comme les autre. Ceci dit, il faut parfois conter en km pour les trouver. Chez moi, on n'a pas de bons homeopathes, on doit partir sur paris (le plus proche). Du coup, on fait beaucoup de routes pour la santé de mes enfants surtout.
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MessageSujet: Re: La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons   La vérité indésirable sur la chimiothérapie, par S. Simons Horlog10Mar 18 Fév - 11:18

"la méfiance est le versant sombre de la vigilance qui est le versant claire "
traduction un peu libre d'un proverbe oriental
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