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| Carlos Castaneda | |
| | Auteur | Message |
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Bouloom Grand initié
| Sujet: Carlos Castaneda Mar 11 Jan - 18:38 | |
| Je fais ce post suite a la remarque d'Esther, qui dit que cet auteur été très controversé. Que pensez vous de lui et de ses ouvrages?
J'ai commencé "voir", et j'avoue que c'est très intéressant. Hormis le fait qu'il dise que prendre du peyotl est obligatoire pour voir les choses réellement, les paroles de Don Juan sont très judicieuses. | |
| | | esther Initié
| Sujet: Re: Carlos Castaneda Mar 11 Jan - 21:04 | |
| Carlos Cesar Salvador Arana Castaneda (25 décembre 1925 à Cajamarca, Pérou - 27 avril 1998) est un anthropologue américain connu pour ses ouvrages relatant ses expériences prétendument issues de l'enseignement d'un mentor indien Yaqui, don Juan Matus.
Il était étudiant en anthropologie à l'Université de Californie à Los Angeles en 1960 lorsqu'il aurait fait la rencontre de don Juan Matus, un Indien présenté comme un Yaqui, dont il devint l'élève ou le disciple. L'ensemble de son œuvre découle des expériences et des enseignements tirés de cette rencontre, dont la réalité est toujours vivement discutée.
Biographie[modifier] L'enfance[modifier]
La propre vie de Castaneda est mal connue, car celui-ci, disant obéir à la pensée de Don Juan, l'a entourée d'une aura de mystère. Il prétend être né à Sao Paulo ou Juquery (Mairiporã), au Brésil en 1931 et d'autres fois en 1935. En fait, les documents du bureau de l'immigration disent qu'il est né à Cajamarca, au Pérou. Selon Castaneda, son père, César Arana Burungaray, aurait été professeur de littérature, alors qu'il était joaillier[1].
Carlos Castaneda aurait suivi des cours à l'Académie des beaux-arts de Lima avant de se lancer dans les arts plastiques. Il dit aussi voir passé la plus grande partie du début de sa vie en Argentine avant de se rendre aux États-Unis pour suivre des études d'anthropologie.
Il prétendit aussi avoir été membre des Special Forces américaines, ce qu'aucun document n'a jamais corroboré. D'après le Time, Castaneda aurait eu une fille naturelle avant son départ du Pérou[1]. Études à l'UCLA et carrière[modifier]
Selon l'étude de Claudie Voisenat et Pierre Lagrange sur l'ésotérisme contemporain[2], Carlos Castaneda arrive aux États-Unis en 1951, étudie la parapsychologie jusqu'en 1959 au Los Angeles City College et s'intéresse aux effets du peyotl. C'est en 1959 qu'il devient étudiant en anthropologie à l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA). Il publie en 1968 son mémoire The Teachings of Don Juan. A Yaqui Way of Knowledge, dans lequel il raconte pour la première fois avoir rencontré don Juan Matus en 1960, un sorcier yaqui dont il serait devenu le disciple. Le livre sort en France en 1972 sous le titre L'Herbe du diable et la petite fumée. Il obtient son doctorat (Ph. D) en 1973[3]. Mystère sur sa mort[modifier]
Castaneda est mort le 27 avril 1998 des suites d'un cancer du foie mais l'annonce ne sera faite, pour des raisons inconnues, que deux mois plus tard, le 19 juin 1998[4]. Il existe une incertitude de trois jours autour de la date de sa mort, le corps aurait même disparu pour finir par être retrouvé. Ce flou serait dû à l'existence d'un fils qui aurait exigé un black-out pour raisons testamentaires.
Le corps est incinéré, et ses cendres sont dispersées au-dessus du haut désert mexicain dans la plus grande discrétion [5]. Les ouvrages : témoignages anthropologiques ?[modifier]
Carlos Castaneda a écrit douze livres « autobiographiques » qui racontent son expérience du chamanisme amérindien sous la conduite d'un sorcier auquel il donne le nom de don Juan Matus (ce n'est que dans un livre ultérieur que « don Juan » est décrit comme rattaché à une tradition prétendument toltèque, le doute venant de la volonté affichée de Don Juan de masquer ses origines, considérées comme inutiles). Ses livres relatent non seulement des éléments autobiographiques, mais ont été longtemps considérés, et le sont encore par certains, comme une réelle étude ethnologique de l'enseignement chamanique de la tradition toltèque, telle qu'elle a été redéfinie par les naguals don Sebastian, don Santisteban, don Rosendo, don Lujan, don Elias Ulloa, don Julian Osorio et don Juan Matus. À l'écoute de son maître, Carlos Castaneda prend note de la leçon initiatique d'une culture qu'il suppose être celle partagée par l'ensemble yaqui (il pondérera son propos dans la préface du Voyage à Ixtlan).
Ses ouvrages, connaissant un immense succès, furent l'occasion d'une vulgarisation d'une certaine forme de la pensée chamanique. Cependant, le langage éminemment symbolique retranscrit par Castaneda d'après les paroles du fameux chaman toltèque reste parfois métaphorique, et de cette pensée Carlos Castaneda ne déterminera ni la structure ni ne présentera systématiquement l'ontologie, malgré une tentative d'analyse structurale (L'Herbe du diable et la Petite Fumée). En fait, tout au long de son apprentissage, il remet en cause ses méthodes traditionnelles d'investigation et d'analyse, jusqu'à en exclure une approche rationnelle et systématique, et les critiques universitaires tombent d'elles-mêmes, au vu du sujet traité. Castaneda, universitaire lui-même, était tiraillé en permanence entre ses connaissances, son apprentissage, et le monde que lui fait découvrir Don Juan.
A partir du milieu des années 1980, Carlos Castaneda transmet Passes magiques , un aspect de la connaissance des chamans du Mexique ancien jusque-là inconnu. Cette partie de son œuvre, ainsi que les ouvrages qu'il publiera dès lors, sont controversés au sein même de la communauté de ceux qui prêtent foi au contenu de son œuvre antérieure. Les initiations[modifier]
Dans ses ouvrages, Carlos Castaneda fait le récit de son initiation, par un certain don Juan Matus, au savoir des chamans du Mexique ancien. Pendant plus de dix ans, il a rendu de nombreuses visites au sorcier et à son clan, constitué d'hommes et de femmes tous impliqués entièrement dans la quête, notamment, d'un but abstrait défini par les « voyants » de leur lignée : la liberté absolue ou la possibilité de conserver intacte leur conscience dans l'au-delà.
Carlos Castaneda décrit son immersion dans le monde de don Juan sur une longue période — période qui trouve son paroxysme au moment où don Juan Matus et son clan décident de quitter ce monde, laissant derrière eux une nouvelle génération d'apprentis, à leur tour entièrement impliqués dans la quête de la liberté absolue.
Le résultat de cet apparent effort de reconstitution et de clarification est à présent connu sous deux formes : ses ouvrages, puis la pratique de la « tenségrité ».
Ses ouvrages font état d'une philosophie dont l'objet est la quête de la « Connaissance », déterminisme d'ordre ésotérique qui apporte au « sorcier » des pouvoirs inconnus au commun des mortels, dont à terme celui de l'immortalité. À la fin de son apprentissage, et conformément à une très antique tradition, consécration qui confirme la réussite des adeptes, Casteneda doit sauter dans un ravin, selon la trame de l'enseignement du « nagual » : « Si tu n'as pas réussi à assembler un autre monde avant d'arriver au fond, tu es mort. »
Dans le courant des années 1980, Carlos Castaneda et trois femmes, tous apprentis de don Juan Matus, décident de diffuser, « pour quiconque était sincèrement intéressé », un des pans de la connaissance des chamans : les Passes magiques. Selon Carlos Castaneda, ces « passes magiques » sont la modernisation de « mouvements » découverts et développés par les chamans du Mexique ancien durant des milliers d'années. Ces mouvements furent regroupés par Carlos Castaneda sous le terme « tenségrité », terme issu de l'architecture qui combine les mots tension et intégrité. Aujourd'hui la société Cleargreen, fondée par Carlos Castaneda lui-même, est chargée d'enseigner la tenségrité. Controverses sur l'authenticité des récits[modifier]
Une vaste polémique fait rage depuis des décennies sur l'authenticité du récit de Castaneda. Supposée être une autobiographie et présentée comme telle, de nombreuses voix se sont élevées en criant à l’imposture car l’œuvre ne serait que le roman d’un écrivain facétieux dont la seule qualité serait une imagination illimitée. Il serait trop long d'énumérer tous ses détracteurs, ainsi que tous ses défenseurs.[évasif] Si des éléments restent bel et bien invérifiables (Castaneda présente son « travail » d'anthropologue d'une façon qui se départ trop fortement des précautions et de la rigueur de l'anthropologie traditionnelle), il existe de très fortes présomptions de fraudes et de mystifications, résumées par Christophe Bourseiller dans son ouvrage La Vérité du mensonge.
L'acteur, poète et réalisateur chilien Alejandro Jodorowsky tranche le débat d'une façon élégante : soit les récits sont vrais, et Castaneda est un grand initié, soit il a tout inventé, et alors c'est un génie littéraire.
La réalité se situe sans doute entre les deux : qu'il ait tout inventé est impossible, étant donné la richesse, la complexité de l'ensemble de l'apprentissage et de ses livres, et ses imprécisions, ses contradictions montrent qu'il en a édulcoré certains aspects. Existence de don Juan Matus[modifier]
Dans les années 1970, Castaneda est considéré par certains comme le messie d'une nouvelle religion, et est crédité d’une œuvre naissante cautionnant l’usage des substances « psychédéliques », à la manière d'Antonin Artaud, d’Aldous Huxley ou de Timothy Leary. De nombreuses personnes partent donc vers le Mexique central, à la recherche de don Juan, son maître à penser et inspirateur. Dans la préface du Voyage à Ixtlan, Castaneda replace l'usage des psychotropes comme une pratique facultative et, dans Histoires de pouvoir, don Juan minimise plus encore leur rôle. Mais sous l'influence du mouvement hippie, le pays est ratissé pendant des années, l’homme reste introuvable ; et pour cause : conformément à la tradition des sorciers, et pas seulement yaquis, Don Juan ne dévoile pas son vrai nom.
Un témoignage de poids viendra un temps alourdir cette présomption de farce. Une femme, se présentant comme l'ancienne compagne de Castaneda, viendra cautionner l’hypothèse de l’imposture[6]. Mais analysé par certains spécialistes de la biographie de Castaneda son témoignage sera considéré comme fébrile, contradictoire et entaché d'intérêts subjectifs. Plagiats[modifier]
Comme l'a largement démontré Richard De Mille, de nombreux passages des récits de Carlos Castaneda se sont avérés être des plagiats de travaux sérieux d'étudiants ou d'anthropologues de l'UCLA[7]. Le problème n'est pas seulement que les idées étaient semblables d'un ouvrage de Castaneda à celui d'un auteur antérieur : des paragraphes entiers contiennent des phrases quasiment identiques, dans leur découpage comme dans leur syntaxe. Par exemple la notion des « Quatre ennemis d'un homme de Connaissance », décrite dans l'œuvre de Castaneda, est presque certainement pillée d'un livre de Barbara Myerhoff, publié quelques années auparavant, de même qu'elle se trouve dans beaucoup d'autres volumes, comme description classique du phénomène. Dimension commerciale[modifier]
Les ouvrages de Carlos Castaneda ayant été un immense succès commercial, celui-ci s'est vu accuser d'exploiter un « filon » initialement très mince. Cette phase commerciale discrédite à nouveau Carlos Castaneda. Mais ses défenseurs ont des arguments ; les stages ne sont qu'une récupération étrangère, à but essentiellement lucratif, non conformes à l'esprit de l'œuvre, calqués sur un yoga américanisé. Contradictions chronologiques[modifier]
De très nombreuses incohérences chronologiques apparaissent lors d'une analyse interne de l'œuvre de Castaneda. Il n'est pas possible que les livres L'Herbe du diable et Le Voyage à Ixtlan soient exempts d'erreurs. De fait, l'un de ces récits au moins contient une certaine part soit d'invention, soit d'imprécisions volontaires ou non.
Les quelques exemples suivants sont tirés du livre de Richard De Mille, Castaneda's Journey[8].
* Dans L'Herbe du diable (1965), Castaneda rencontre une sorcière sous la forme de don Juan lui-même. Dans ce récit, Castaneda se rappelle vaguement qu'en 1961 don Juan avait promis d'en dire plus sur « la Catalina », et des moyens pour l'assassiner « un jour ». En 1965, selon L'Herbe du diable, rien d'autre ne s'est passé depuis ce jour-là. Cependant, en 1962, selon Le Voyage à Ixtlan, Castaneda a vu la Catalina six fois, et a même été attaqué par elle.
* Semblablement dans l'un des récits, Castaneda explique avoir « vu » un lieu bénéfique sur la terre, aux abords de la maison de don Juan, en 1962. L'autre récit énonce qu'en 1968 seulement, Castaneda remarque pour la première fois que don Juan disait le mot « vu » avec une inflection particulière (il lui demande alors ce qu'il entend par là).
De tels exemples sont très nombreux. Les détracteurs disent que, clairement, Castaneda a au moins inventé Le voyage à Ixtlan, sinon don Juan. Ceux qui persistent à croire en l'existence de don Juan supposent que Castaneda a simplement fait quelques erreurs dans ses notes de terrain.
Sources: Wikipédia
J'avais promis à Astya d'ouvrir un post sur Castaneda. Comme je veux faire les choses trop bien, je voulais lire plusieurs ouvrages avant d'en faire la synthèse. Malheureusement je me suis essoufflé entre temps. J'ai calé sur le deuxième livre: le feu du dedans.
Merci donc à Bouloom de me rappeler à mon bon devoir lol:dac:
Ce que je puis dire brièvement est la citation de je ne sais plus qui à propos de Castaneda : Soit Castaneda est dans le vrai, soit il est un auteur de génie littéraire.
Je dois dire que j'ai pris du plaisir à le lire même s'il est parfois un peu difficile à suivre. Les préceptes enseignés sont ceux d'un indien yaki dans la ligne de pensée toltèk. Les récits et les enseignements sont empreints de sagesse et de bon sens. Ce qui me gène est le recours quasi systématique à la prise de substances hallucinogène, phénomène à la mode dans les années 70. Qui plus est,les plantes que Don juan matus est censé utiliser pour préparer ses potions n'existent pas dans la région où il dit les avoir trouvées. Enfin la formation qu'il dispense est une formation éminemment difficile puisque la grande majorité du commun des mortels ne sauraient être à la hauteur.
L'oeuvre de Castaneda à provoquer une engouement unique en son genre. Et quantité de personnes admiratives ont ardemment désiré être son élève. Je ne saurais dire si beaucoup d'entre eux ont été comblés à la mesure de leurs espérances.
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| | | Invité Invité
| Sujet: réponse à Bouloom Ven 11 Mar - 17:21 | |
| salut Bouloom
Esther à raison : Castaneda est louche [source : "les ombres et lumières de Carlos Castaneda" (Ed. Poches)]
Un journaliste du Times a fait une enquête à son sujet : contrairement à ses affirmations, il est né au Pérou, et non en Argentine.
Sa thèse de sociologie "l'herbe du diable et la petite fumée" qui est devenue un best-seller, a été reprise trois fois pour être corrigée par ses profs de la fac d'UCLA (donc sur 3 ans).
C'était un coup monté pour faire revivre le mythe américain : un pauvre étudiant immigré présente sa thèse pour obtenir la licence de sociologie qui devient un best-seller.
Il a menti aussi sur son âge : il était beaucoup plus vieux comme étudiant que prétendu.
D'après moi, s'il a masqué aussi soigneusement ses origines, c'est parce que ses connaissances proviennent du Pérou, des Incas, et non des Yaquis, une nation indienne du Sud-Ouest, comme les Apaches.
Je pense que Castaneda est un sorcier littéraire, comme Lobsang Rampa. Mais j'avoue que j'étais captivé en lisant ses romans.
Comme étudiant, il est certainement parti au Mexique... pour se défoncer au peyotl, oui ! Sa thèse sur des plantes médicinales utilisées par les Indiens du Sud-Ouest n'était qu'un prétexte pour expérimenter les hallucinogènes.
Il est mort d'un cancer du foie, alors qu'il ne fumait ni ne buvait d'alcool... tiens donc ! Les champignons hallucinogènes attaquent le foie, comme notre redoutable amanite phalloïde.
Son grand mérite est d'avoir donné une vue de l'intérieur du chamanisme, contrairement aux autres auteurs qui abordent le sujet d'une manière scientifique, doctorale.
Les livres de Castaneda se dévorent un après l'autre : ils sont passionnants, autant par les histoires qu'il relate, que par la profondeur des connaissances chamaniques... incas, et non yaquies ou toltèques. |
| | | RatDchamps Petit Scarabé
| Sujet: Re: Carlos Castaneda Lun 27 Jan - 16:37 | |
| Bonjour, en ce qui me concerne j'ai lu castaneda jusque au dont de l'aigle, et plusieur fois, ..la prise d'hallucinogène n'est pas nécessaire pour arriver à voir mais ça aide si le declic ne viens pas, je veu dire par la que dans le cas de Carlos il pouvait pas voir car il été trop coincé dans le monde physique qu'il percevait, ..on le vois débarquer là comme agnan le 1ier de la classe, genre le gars qui c même pas pris une seule cuite dans sa vie, qu'a jamais planer un minimum, et il veu faire une étude scientifique sur le peyotl le gars !?! On ne peut pas expliquer à quelqu'un ce qu'est l'ivresse alcoolique ou autre car on a chacun ça façon de la vivre alors si Carlos voulai savoir sur le peyotl fallait qu'il en prenne. Ensuite toute ces polémiques sur lui sa vie ce qui serait vrai ou faux je n'en vois pas l'intérêt, il décrit une vision du monde après chacun y prend et y laisse ce qu'il veu. En tout cas croire en sa conception du monde est bien moin absurde que de croire en un dieu unique avec ou sans l'option saint esprit | |
| | | Arwen Aucun Rang
| | | | RatDchamps Petit Scarabé
| Sujet: Re: Carlos Castaneda Lun 27 Jan - 17:34 | |
| Je ne parle pas d'arriver à quoi que se soi, mais de la conception du monde selon Don Juan c tout | |
| | | RatDchamps Petit Scarabé
| Sujet: Re: Carlos Castaneda Lun 27 Jan - 18:10 | |
| Sinon il y a plusieurs genre de vision, pour ma part j'en ai eu une en marchant dans la rue, la façade en face est devenu en couleur, le haut s'était du rose bonbon fluo qui couler comme une cascade sur le bas qui était bleu turquoise. J'en avait eu une autre des années avant quand après des mois de relaxation j'ai fais un voyage astral volontaire, ces deux choses sont différentes et je regarde un peu dans les divers courants de conception du monde, un écrit m'emmène à un autre ainsi de suite c mon chemin de la connaissance voilà quoi. Sinon oui castaneda j'ai eu ma période et ces livres se dévorent, le plus dingue c que sa conception du monde se tien, et qu'il n'y a aucune incohérence, il aurait pu faire plus condensé mais bon faut bien aussi faire du fric, puis c tout le blême des livres d'enseignement, soit c complexe pour un non initié soit c pour un large public et c long et romancé. Remarquer pour ce qui est de faire du fric les lamas le font aussi, j'ai eu lu toute la série de Rampa du 3iem oeil à tout les "j'ai lu" rouge ben c pareil, ça me fais penser à la série lost dans le sens où il faut se taper tout l'épisode pour apprendre 2 ou 3 truc lol | |
| | | Arwen Aucun Rang
| Sujet: Re: Carlos Castaneda Lun 27 Jan - 21:05 | |
| | |
| | | RatDchamps Petit Scarabé
| Sujet: Re: Carlos Castaneda Lun 27 Jan - 21:23 | |
| De mon côté mon prochain grand chantier de lecture ça sera je pense la baghava.. ..enfin "la gita" quoi ;-) | |
| | | Arwen Aucun Rang
| Sujet: Re: Carlos Castaneda Lun 27 Jan - 23:18 | |
| jamais entendu parler, tu as un lien ? | |
| | | RatDchamps Petit Scarabé
| Sujet: Re: Carlos Castaneda Mar 28 Jan - 9:05 | |
| Bah fait une recherche bhagava-gita sur Google, ..mais wa j'ai trouver aussi un truc pas mal ..fait une recherche dans réincarnation puis va sur syti.net | |
| | | Arwen Aucun Rang
| | | | RatDchamps Petit Scarabé
| Sujet: Re: Carlos Castaneda Mar 28 Jan - 11:40 | |
| ..oui mais ça sent aussi que si ici on est tous un peu un guide pour notre prochain le guide ne peut pas faire les choses à ta place.. | |
| | | Arwen Aucun Rang
| Sujet: Re: Carlos Castaneda Mar 28 Jan - 20:00 | |
| Lol pas de soucis Google est mon ami il parait | |
| | | ohunechouette padawan
| Sujet: Re: Carlos Castaneda Mar 16 Juin - 15:51 | |
| - Invité a écrit:
- salut Bouloom
Esther à raison : Castaneda est louche [source : "les ombres et lumières de Carlos Castaneda" (Ed. Poches)]
Un journaliste du Times a fait une enquête à son sujet : contrairement à ses affirmations, il est né au Pérou, et non en Argentine.
Sa thèse de sociologie "l'herbe du diable et la petite fumée" qui est devenue un best-seller, a été reprise trois fois pour être corrigée par ses profs de la fac d'UCLA (donc sur 3 ans).
C'était un coup monté pour faire revivre le mythe américain : un pauvre étudiant immigré présente sa thèse pour obtenir la licence de sociologie qui devient un best-seller.
Il a menti aussi sur son âge : il était beaucoup plus vieux comme étudiant que prétendu.
D'après moi, s'il a masqué aussi soigneusement ses origines, c'est parce que ses connaissances proviennent du Pérou, des Incas, et non des Yaquis, une nation indienne du Sud-Ouest, comme les Apaches.
Je pense que Castaneda est un sorcier littéraire, comme Lobsang Rampa. Mais j'avoue que j'étais captivé en lisant ses romans.
Comme étudiant, il est certainement parti au Mexique... pour se défoncer au peyotl, oui ! Sa thèse sur des plantes médicinales utilisées par les Indiens du Sud-Ouest n'était qu'un prétexte pour expérimenter les hallucinogènes.
Il est mort d'un cancer du foie, alors qu'il ne fumait ni ne buvait d'alcool... tiens donc ! Les champignons hallucinogènes attaquent le foie, comme notre redoutable amanite phalloïde.
Son grand mérite est d'avoir donné une vue de l'intérieur du chamanisme, contrairement aux autres auteurs qui abordent le sujet d'une manière scientifique, doctorale.
Les livres de Castaneda se dévorent un après l'autre : ils sont passionnants, autant par les histoires qu'il relate, que par la profondeur des connaissances chamaniques... incas, et non yaquies ou toltèques. Bien au moins j'aurais appris une chose! En plus, j'ai un livre de cet auteur, en attente d'être lu : "l'art de rêver". Je le lirai car le thème m'intéressait. Si déjà il ment sur ses origines, on peut effectivement s'interroger si ce à quoi il fait référence est de source sûre ou non... | |
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| | | | Carlos Castaneda | |
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