Source http://www.ufologie.net/htm/dropasf.htm
Est-il
possible que des extraterrestres aient atterri en Chine il y a très
longtemps suite à l'écrasement de leur vaisseau spatial et s'y soient
installés? Des scientifiques et des archéologues auraient étudié des
tombes, des restes, et d'étranges objets, un ethnologue en a discuté
avec leurs descendants, un linguiste a traduit leur récit... Mais
aucune étude récente ne s'est intéressée à cette affaire incroyable,
qui pourrait bouleverser tout ce que nous croyons savoir de notre
histoire et de notre place dans l'univers, et qui finalement ne servira
qu'à servir de trame à un épisode de la série X-Files.
L'une des
histoires les plus extraordinaires et incroyables relatives à des
visiteurs extraterrestres débute en 1938 alors que l'archéologue Chi Pu
Tei découvre une série de tombeaux régulièrement creusés et alignés
dans des cavernes artificielles des montagnes de Baian Kara Ula près de
la frontière sino-tibétaine. Entre des décorations montrant de petits
êtres coiffés de casques, des étoiles, des planètes et des lignes qui
les joignent, il trouva de petits squelettes aux larges crânes. Il fut
vite évident que les étranges squelettes n'étaient pas ceux d'une
espèce inconnue de singe, lesquels n'enterrent pas leurs morts.
On
trouva également des objets de pierre contenant des traces de métaux
incongrues, parfaitement circulaires et ornée de symboles stellaires et
d'une écriture minuscule en spirale. Ce n'est qu'en 1962, qu'un
linguiste chinois réussit à traduire le texte d'un des 700 disques
entreposés à l'Académie de Pékin.
Cette traduction nous rapporte
l'histoire d'un groupe d'êtres qui se sont écrasés sur la Terre il y a
12.000 ans et qui se sont trouvés incapables de réparer leur vaisseau.
Ce groupe fut d'abord traqué, à cause de son apparence inhabituelle,
par la tribu de chasseurs qui occupait les lieux, mais finit à force de
gestes pacifiques à se faire accepter et à s'installer en paix. Cette
traduction fur largement ignorée ou moquée par les collègues du
traducteur, car elle ne cadrait vraiment pas avec les idées que l'on
pouvait alors accepter.
En 1938 dans les montagnes de Bayan
Kara Ula, dans l'Himalaya à la frontière de la Chine et du Tibet, une
équipe d'archéologues chinois entreprit de fouiller systématiquement
une série de cavernes interconnectées.
Leur intérêt pour ces
lieux avait été éveillé par la découverte d'une série de tombes
alignées avec soin qui contenait des restes de squelettes de ce qui
devait bien être une race d'êtres humains jusqu'ici inconnue. Leurs
corps étaient petits et frêles, leur tête largement plus grande que des
têtes normales, au point qu'on crut d'abord avoir découvert une espèce
inconnue de singes, jusqu'à ce que l'absurdité de l'idée de singes qui
creusent des tombes décorées pour enterrer leurs morts exclue cette
possibilité.
Etudiant un des squelettes, l'un des membres de
l'expédition trébucha sur un disque de pierre enfoui dans le sol
poussiéreux de la caverne. L'objet évoquait une sorte de disque
phonographique préhistorique. Un trou parfaitement circulaire en son
centre, et un sillon en spirale de petits caractères inconnus.
Personne
ne put comprendre le sens du texte, le disque fut étiqueté et expédié
en compagnie d'autres découvertes vers Pékin, ou quelques experts
s'acharnèrent pendant 20 ans sans succès à les décoder, jusqu'à ce que
finalement le docteur Tsum Um Nui comprit cette écriture inconnue et se
mit à le déchiffrer. L'Académie des Etudes Préhistoriques de Pékin lui
interdit de mentionner et de publier son travail, il outrepassa cette
interdiction deux ans plus tard.
Le texte racontait l'histoire
d'une "sonde spatiale" pilotée par les habitants d'une autre planète
qui s'écrasa dans les montagnes de Baya Kara Ula. Leurs intentions
pacifiques ne furent pas immédiatement claires pour la tribu de
chasseurs troglodytes qui occupaient les lieux, qui tuèrent encore de
nombreux survivant, effrayés qu'ils étaient par l'aspect inhabituel de
ces êtres.
Ceux-ci se présentèrent comme les "Dropas", et à
force de signes finirent par convaincre de leurs intentions pacifiques,
expliquant qu'il venaient "des nuages" et qu'ils n'avaient aucun moyen
de réparer leur véhicule ou d'en construire un autre.
En 1965,
716 autres disques gravés furent trouvés dans les mêmes cavernes. Les
légendes de la région mentionnent des petits hommes jaunes venant des
nuages, ayant de grosses têtes et des corps très frêles, si horribles
qu'ils étaient pourchassés et tués.
Sur les parois étrangement
lissées des cavernes, on trouva des dessins précis du soleil, de la
Lune, de la Terre et de plusieurs étoiles identifiables telle Sirius,
avec des lignes en pointillés qui les joignent entre elles. Ces dessins
ont été datés de 12.000 ans avant nos jours.
La zone des
cavernes est toujours habitée par deux tribus semi-troglodytes connues
comme les Han et les Dropa ou Dzopa. Les deux tribus sont d'apparence
très étrange, de corps fragiles, d'une taille dépassant à peine le
mètre pour les adultes, des têtes disproportionnées et de grands yeux à
l'iris bleu. Ils ne sont ni typiquement chinois ni tibétains.
En
Russie, plusieurs disques furent examinés. Il fut montré qu'ils
contiennent de grandes quantités de cobalt et d'autres substances
métalliques. Placés sur une table tournante, ils émettaient un
bourdonnement bas, comme s'ils avaient une activité électrique.
Photo noir et blanc des dirigeants des Dropas:
Cette
photo qui aurait été prise par le Dr. Karyl Robin-Evans lors de son
expédition de 1947 montre le couple royal Dropa Hueypah-La (taille 1 m
20) et Veez-La (taille 1 m).
Un ingénieur autrichien a eu l'occasion de faire cette photographie en 1974, quand il voyageait en Chine.