Qu'est ce que la Synchronicité ?

Jean-Pascal Debailleul (61 ans), publicitaire, éditeur, conteur, thérapeute, formateur et consultant, est lauteur de la méthode de transformation de soi par les contes Horaklès / La voie des contes présentée sous les titres « Vivre la magie des contes » (Albin Michel, 1998) « Se réaliser par la magie des coïncidences » (Jouvence, 2000) et « La synchronicité par les contes » (Souffle dOr, 2003). Il enseigne comment passer du conte à la réalité et traduire la créativité des contes dans la vie de tous les jours à laide dexercices inspirés des sagesses traditionnelles et de la psychologie daujourdhui.

Il est lauteur aussi de trois jeux : " Le Jeu de la voie des contes" (Souffle dOr 2003), Horaklès, le jeu du héros (2009) et "Vortex du nouveau monde" (jeu d'intelligence collective sur Internet) (2009) quil propose comme outils de créativité et d'aide à la décision, mettant en oeuvre la puissance du mythe au secours des démarches de questionnement.

Jean Pascal Debailleul a mis au jour, à travers les contes, la remarquable richesse dinspiration du héros jusque dans sa dimension de synchronicité et modélisé ses pratiques de créativité quantique. Il peut, aujourdhui, proposer aux entreprises et aux professionnels la Démarche d'Eurêka! et des procédures novatrices de création en intelligence collective qui permettent de développer des synergies à la hauteur des enjeux d'aujourd'hui.

Consultant et coach, formateur et superviseur de coachs dans lenseignement de ses outils, Jean Pascal Debailleul est aussi expert à lAPM (club de dirigeants dentreprises), et intervient dans des stages de management, leadership, cohésion déquipe à la CEGOS, dans des écoles de coaching, des laboratoires de créativité ou en tandem avec des consultants indépendants.

http://www.lavoiedescontes.com

Coïncidence ? J'écoutais une émission de radio sur la sociologie de grands gagnants du loto avec un couple de sociologue qui à fait et publié une étude(Les millionaires de la chance) sur leur comportement et ils constataient que la plupart des gagnants expliquait logiquement leur gain par un cierge mis dans une église, l'anniversaire du décès d'une mère etc... etc.... et tu mets les livres sur la synchronicité et les contes... alors que chez moi apparaissait la notion de synchronicité et d'uchronie. L'uchronie qui est un genre littéraire qui en simplifiant consiste à ré-écrire l'histoire du style "si Napoléon avait été vainqueur à Waterloo...si Hitler aviat été assassiné" etc.... N'en serait-il pas de même pour ce guide de relecture des contes (dont je ne connais pas la teneur ni l'invite) ? L'auteur fait-il allusion à l'illumination que peut apporter dans la vie la compréhension symbolique d'un conte de fée, comme le permet l'herméneutique des textes sacrés depuis la nuit des temps et de ce fait, en tant que comportement "habituel" de l'esprit humain est-ce encore de la synchronicité ou simplement une aptitude de l'esprit à pratiquer un enseignement précisément symbolique ouvrant naturellement la porte à de multiples interprétations et une pédagogie latente qui donne sens à des situations archétypales, comme conseils de "sagesse" ?
Voila les réflexions que cela m'inspire.

Je dirais plutôt synchronicité. Pour les contes, je pense qu'en fait, le fait de croire nous permet de devenir créateur. Par exemple, imaginer sa vie envoie une pensée, une énergie ... qui provoque le retour par une matérialisation de la pensée.

Astya a écrit:

Je dirais plutôt synchronicité. Pour les contes, je pense qu'en fait, le fait de croire nous permet de devenir créateur. Par exemple, imaginer sa vie envoie une pensée, une énergie ... qui provoque le retour par une dématérialisation de la pensée.

Croire ? en quoi ?
Imaginer sa vie... donc s'envisager dans le futur... d'ou l'influence d'un futur non avenu sur un présent et sur-détermination de ce dernier par abandon du passé conditionnant le présent. Un renversement dialectique, une rupture épistémologique comme disent les philosophes.
"Quant à la dématérialisation de la pensée" je ne comprends pas, dans la mesure ou l'on ne peut pas ne pas savoir ce que l'on sait, à moins de devenir amnésique.

Oups, mon correcteur d'orthographe a changé le mot, pas dematerialiser, mais materialiser nos pensées.